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Etje sais que les hommes sâangoissent aussi sur la taille de leur sexe !-Oui, mais ça, heureusement, cela ne concerne pas tous les hommes. La plupart des hommes prennent leur sexe comme il est. Mais certains font une fixation sur la taille de leur pĂ©nis, alors quâen fait, cela a trĂšs peu dâimportance dans lâamour.
â DĂ©bordement sortie dâun cours dâeau de son lit. "Synonyme" dĂ©bauche. "ManĆuvre de dĂ©bordement" franchir la dĂ©fense adverse en la contournant. Tout un programme.â Roger ! Salut câest Bernard.ââ Je tâappelle, car je cherche des chambres pour mes sinistrĂ©s du camping. Les tentes et les bungalows baignent dans lâeau.ââ Vous nâavez rien ? MĂȘme pas une goutte ? ââ Alors tu peux me prendre au moins un couple.ââ Tes travaux ? Il te reste bien une chambre ?ââ Un couple. Ils sont motorisĂ©s. ââ Merci. Je te les route goudronnĂ©e qui se termine par au moins un kilomĂštre de route de terre. La pancarte "Route privĂ©e" rĂ©pĂ©tĂ©e plusieurs fois nâincite pas Ă continuer. Mais la maison apparaĂźt soudain, dans une clairiĂšre de la forĂȘt. La maison, mais la piscine aussi, piscine manifestement rĂ©cente, car encore entourĂ©e de terre qui attend dâĂȘtre femme a bien la cinquantaine, mais porte "beau". Si elle est affable en nous recevant, lâhomme lâest moins. Il est petit, rugueux, habillĂ© nĂ©gligĂ© avec une chemisette ouverte sur un torse velu qui souligne un ventre bien arrondi. Le short est de ces vieux shorts que plus personne ne nous accueille avec chaleur, prĂ©sente son mari, prĂ©cise quâils sont en travaux piscine de moins dâun mois, deux chambres, futures chambres dâhĂŽtes en cours de finition, ce qui explique que la chambre disponible, si elle est habitable est une troisiĂšme encore dans son jus...Pourtant la soirĂ©e se passe bien. Lâhomme se dĂ©ride. Il sâest changĂ©, paraĂźt moins frustre, quoiquâencore racontons le dĂ©luge, la montĂ©e des eaux, notre chance dâavoir laissĂ© la voiture dans une zone non inondĂ©e. Notre bungalow nâest pas totalement submergĂ©. En principe, lâeau affleure le sol...â Le camping du levant ? Ah je nâavais pas compris que câĂ©tait question et la rĂ©ponse sont suivies par quelques secondes de silence. Le couple comprend que nous sommes naturistes, car ce camping est rĂ©servĂ© aux gens comme nous qui profitons de nos vacances pour vivre en libertĂ© sans que le moindre tissu. Mais cette dĂ©couverte ne change pas lâaccueil. Au contraire, lâhomme, Roger, semble soudain plus affable. Encore un qui pense que naturisme signifie libertĂ© sexuelle, et que cela fornique dans tous les coins. Non ! Non ! Jâai envie de protester et nous dĂ©fendre, mais Ă quoi bon !Non, le naturisme nâest pas synonyme de libertĂ© sexuelle, au contraire. De voir des corps nus toute la journĂ©e peut "couper" la libido. Mais cela ne veut pas dire que nous sommes "coincĂ©s" sur le sujet. Je veux dire libido. Nous, notre libido est depuis un an, une libido de libertins. Nous avons dĂ©couvert cette pratique lors dâune soirĂ©e trĂšs chaude oĂč des amis nous avaient invitĂ©s sans nous prĂ©venir. Dans un premier temps, nous avons fait lâamour avec le spectacle trĂšs excitant de ces couples qui en ville sont soudĂ©s, mais qui pendant cette nuit se sont sĂ©parĂ©s pour ne se reformer quâau petit matin. Câest un monde un peu comme celui du naturisme. Personne ne vous juge, personne ne vous contraint. Et, nous nâavons fait que rĂ©pondre Ă une main tendue, dans le sens littĂ©ral du terme. Il est manifeste que dâavoir fait lâamour nâavait pas suffi Ă Ă©teindre un feu de braises, ranimĂ© Ă chaque fois que nous franchissions le seuil dâune piĂšce, dĂ©couvrant des scĂšnes dâune diversitĂ© et dâune intensitĂ© surprenantes. Heureusement, nous nâavons pas Ă©tĂ© changĂ©s en statues de sel alors que nous regardions ce "Sodome et Gomorrhe" main, en rĂ©alitĂ© ces deux mains tendues, lâune de la femme vers Marc et celle de lâhomme vers moi nâont Ă©tĂ© refusĂ©es que lâespace dâun instant. Lâinstant dâun regard Ă©changĂ©, dâun sourire partagĂ©, dâun baiser que Marc a dĂ©posĂ© sur mes lĂšvres suivi par un â On pourrait essayer. Mais câest toi qui dĂ©cides.""Jâai dĂ©cidĂ©. Je nâai jamais regrettĂ© et Marc non plus. Notre amour, encore rĂ©cent, nous vivions ensemble depuis cinq ans, sâest renforcĂ©. Certains pourraient croire que de "baiser" avec dâautres diminue lâenvie de son partenaire de tous les jours. Câest faux. Au contraire, on a envie de lui montrer combien on lâaime, combien il vous donne du plaisir et que sâil vous entend crier une jouissance avec un autre, câest grĂące Ă lui, Ă la libertĂ© que vous vous accordez lâun lâ utilisons leur salle de bain. Je me dis que je pourrais les informer que nous avons terminĂ©. Ils sont dans la cuisine en train de ranger, ayant refusĂ© notre aide par un â AprĂšs la nuit que vous avez passĂ©e, vous devez ĂȘtre fatiguĂ©s...Je vais ouvrir la porte, mais rĂ©alise que je suis en nuisette, nuisette dâune transparence qui frĂŽle lâindĂ©cence. Je vais juste passer la tĂȘte par la porte entrouverte.â Dis donc, ils tâont tapĂ© dans lâĆil, pour une fois tu as Ă©tĂ© presque aimable !â Et toi ? Tu ne crois pas que je nâai pas remarquĂ© que tu tâes changĂ©e pour le dĂźner.â Je suis bien Ă©levĂ©e, est sans agressivitĂ©, plutĂŽt sur le ton de la plaisanterie.â Mais oui, suis-je bĂȘte, bien Ă©levĂ©e au point de ne pas mettre de culotte ni de soutif.â Moi ? Ah mais oui, câest vrai, jâavais oubliĂ©. Il fait si chaud.â Tu nâas pas lâintention de chercher Ă sĂ©duire Marc ?â Et toi ?â Tu connais nos accords. Tant que notre projet nâest pas terminĂ©, pas question de faire de vagues. On pourrait nous retirer notre permis de construire. Pour eux ce serait une façon de protester.â Mais on est chez nous. La forĂȘt tout autour nous appartient. Le chemin est privĂ©. Alors ?â Tous les culs bĂ©nis et les autres... AprĂšs il suffira de rester discret. Tu sais bien que câest un monde qui a lâhabitude de la confidentialitĂ©. Si tu veux aprĂšs leur dĂ©part on pourra aller Ă "Cottabert" pour lĂącher la pression.â Bon dâaccord. Passe-moi les assiettes passent de main en main. Ătrange Ă©change verbal dont je ne comprends quâune partie, celle oĂč ma foi nos hĂŽtes ne sont peut-ĂȘtre pas si "coincĂ©s".Armelle se penche. On voit nettement quâelle ne porte pas de culotte. Il faut que je demande si Marc lâavait remarquĂ©. Moi jâavais vu quâelle ne portait pas de soutif bien que sa poitrine semblĂąt Ă©trangement "rigide".Lâhomme baisse son short. Ses fesses velues me confirment que la toison que lâon voit dĂ©passer de sa chemisette nâest que la partie apparente de lâiceberg.â Roger, pas maintenant. Attends quâon aille dans la chambre.â Tu sais bien quâentre les deux chambres, on entend tout. Moi je veux bien. On pourrait montrer Ă ces petits jeunes que tu nâes pas insensible Ă mon charme.â Je ne savais que ton gros machin sâappelait "charme".â Coquine.â Cochon.â Je prĂ©fĂšre "ours" si tu veux suite est celle dâun couple qui se donne du plaisir. Je ne vois que les fesses de lâours. Des fesses que les mains dâArmelle caressent alors quâelle lui fait une fesses qui bougent alors quâil la possĂšde, levrette contre le plan de fesses qui tressaillent alors quâil me sauve raconte ce que jâai vu et entendu Ă Marc.â Alors comme ça la cloison est fine ?â Oui. Câest ce quâil a dit.â Oui, mais nous on ne le sait pas.â Et alors.â Je ne sais pas toi, mais moi jâai besoin de relĂącher toute cette tension...â Et ?â Attendons quâils arrivent.â Et ?â On pourrait leur montrer que, nous les naturistes, on ne fait pas que vivre nus......â Pervers.â Ne fais pas ta mijaurĂ©e. Montrons Ă lâOurs que la valeur nâattend pas le nombre des annĂ©es.â-â Si vous voulez, vous pouvez profiter de la piscine. Lâeau est chaude avec cette canicule. Heureusement, les grosses chaleurs sont Armelle qui me le propose. Nous sommes seules. Nos maris sont allĂ©s en ville pour donner un coup de main et rĂ©duire les dĂ©gĂąts causĂ©s par lâinondation. â Ce serait avec plaisir, mais je... Vous comprenez, je nâai pris que lâindispensable et...â Le maillot de bain ne fait pas partie des indispensables, surtout dans ce camping. Elle souritâ Câest vrai. Jâen ai un, en cas que... Mais...â Je peux vous en prĂȘter un. Ou bien... Personnellement, cela ne me dĂ©range pas, vous pouvez faire comme au camping.â Cela me gĂȘne un peu. A moins que vous aussi vous... Entre femmes... Votre mari nâen saura rien. Jâai bien compris que le nudisme nâest pas sa tasse de thĂ©.â Oh ce nâest pas le nudisme qui le dĂ©range, câest un complexe.â Un complexe ?â Oui, en confidence... Vous garderez ce secret nâest-ce pas ? Câest typiquement masculin.â Ah, son sexe. Il le juge trop petit.Elle rit. Non, lâinverse.â Ah !â Vous ĂȘtes charmante. Vous lâavez bien vu hier soir.â Moi, mais... Non. Jamais.â Allons ! Allons ! Reconnaissez-le. Je nâen suis pas fĂąchĂ©e, rassurez-vous. Dâailleurs moi aussi jâai bien apprĂ©ciĂ© vos vocalises. Je nâavais que le son, pas lâimage...â Vous saviez que je regardais ?â Disons que jâai devinĂ©, une ombre, cela pouvait ĂȘtre vous ou votre mari. âJe souris. CâĂ©tait moi et pour ne pas vous mentir, votre mari me cachait le rions.â Installez-vous. Je vous rejoins dans un moment. Encore deux trois bricoles...â Nous sommes bien dâaccord. Pas de textile pour vous non plus.â rĂ©alitĂ©, elle est absente un long moment. Je nage et mâinstalle sur le transat. Câest fou, quand on pense quâil nâa pas plu ici alors que plus bas lâorage avait Ă©tĂ© dâune telle puissance. Une ombre. Câest elle. Elle porte un plateau avec des rafraĂźchissements.â Câest un peu tĂŽt pour lâ nous sert. Elle porte une robe toute simple. â Vous mâavez promis. Sinon, moi je me rhabille.â VoilĂ , voilĂ . Vous les nudistes avez des principes dâun autre Ăąge. En quoi cela vous gĂȘne si je reste comme ça ?â La parole donnĂ©e câest tout. Vous aussi avez des complexes comme votre mari ?â Vous ĂȘtes une vraie chipie, voilĂ . Elle rit. Moi aussi. Elle fait sauter sa robe.â VoilĂ , vous ĂȘtes contente ?Je ne rĂ©ponds pas. Quel Ăąge a-t-elle ? La cinquantaine bien tassĂ©e ? En tout cas, ce nâest pas le corps dâune femme qui sâest laissĂ©e vivre, laissant lâĂąge faire son Ćuvre. La dĂ©couvrir dans cette maison, loin de tout, pouvait faire penser Ă ...â Penser Ă quoi ? Cesse de la regarder ainsi, bouche bĂ©e. Elle est bronzĂ©e uniformĂ©ment ! Et alors ? Sa poitrine a le maintien de celle dâune ado avec un bonnet C ! Elle sâest fait refaire ou agrandir les seins ! Et alors ? Ses arĂ©oles sont grandes ! Ses tĂ©tons sont...""â Je vous choque ?â Pardon.â Vous ne dites rien et je vois bien que mes piercings vous tirent les yeux.â Non, non, excusez-moi, câest juste que...â Que vous me pensiez trop vieille pour ça ?â Non, non, je vous assure.â Ce nâest pas parce que Roger nâaime pas se montrer que nous vivons reclus. Regardez autour de vous. Toute cette nature pour nous. Pas de regard plus ou moins malveillant...â Ce nâest pas ce que ...â Chut. Pour tout vous dire, nous vivons la plupart du temps nus et depuis que la piscine est installĂ©e, câest encore plus Ă©vident.â Je comprends. Câest juste que...â MĂ©fiez-vous cela pique.â Pique ? Mais quoi ? Je bouge, cherche sur mon corps un insecte, araignĂ©e ou abeille ou Ă©clate de rire. â Je parle de mes piercings. Rassurez-vous, ils font toujours beaucoup dâeffet la premiĂšre fois. Non, ne dites rien, je sais les questions que vous vous posez. Ils sont le rĂ©sultat dâune nĂ©gociation avec Roger. Je voulais me faire refaire la poitrine. Elle Ă©tait petite et en plus tombante. Il ne voulait pas. Mais lui voulait que je porte des piercings. Il trouvait cela excitant. Alors on a transigĂ©. Nouvelle poitrine contre piercing. â Oh et cela ne vous gĂȘne pas ?â Quâen pensez-vous ? Vous ĂȘtes une femme, dâaprĂšs vous quel effet cela fait dâavoir les tĂ©tons toujours tendus ?â Oh, je ne voulais pas ĂȘtre indiscrĂšte. â Comme tout le monde. Donnez-moi votre je lui tends. Elle se penche vers moi qui suis restĂ©e assise sur le transat. Elle guide ma main sur sa secondes oĂč elle la maintient et puis elle la lĂąche. Doucement, jâen dĂ©couvre la rondeur, la fermetĂ©. JâhĂ©site Ă toucher le mamelon. Je croise son regard. Ses yeux pĂ©tillent. Elle sourit. La pointe rose de sa langue humecte ses lĂšvres. Je ne touche pas directement le tĂ©ton et la tige de mĂ©tal qui le traverse, mais avec ma paume, jâen effleure la pointe. Marc me caresse souvent ainsi. Surtout au dĂ©but. Il sait reconnaĂźtre Ă la façon dont mes tĂ©tons sont tendus et le gonflement de mes seins, lâĂ©tat de mon envie. Dans nos soirĂ©es coquines, il sait presque avant moi quel homme va me frĂ©mit. Elle ferme les yeux. Alors jâose envelopper le tĂ©ton. Le mĂ©tal est chaud, les deux petites boules qui en ferment les extrĂ©mitĂ©s sont elle reprend ma main. A nouveau, elle me regarde.â Il ne sâest pas contentĂ© de ces deux piercings. Il a voulu un autre "lĂ " est plus bas, bien plus bas. Elle guide ma main entre ses cuisses. Elle la libĂšre.â Vers mon petit bouton. Sur le capuchon. Vous le sentez ?Elle me parle au creux de lâoreille. Sa voix est douce, sensuelle et puis un ""ouiiiiiii câest ça"", confirme que jâai trouvĂ©. Mon doigt est de douceur, mais manifestement rien que de frĂŽler lâobjet dĂ©clenche une rĂ©action qui me paraĂźt surprenante.â Câest trĂšs sensible. Terriblement sensible...Elle tourne son visage vers câest comme une Ă©vidence. Nos lĂšvres se dĂ©couvrent. Nos langues parlent le mĂȘme langage. Le baiser est elle me pousse pour que je me rallonge sans jamais quitter mes lĂšvres. Une fois allongĂ©e, elle me libĂšre, mais câest pour venir me chevaucher. Ce nâest pas mon premier 69 avec une femme. Les maris aiment bien voir leurs Ă©pouses faire connaissance avant quâils viennent chercher leur de mari, juste nous deux, au bord de la piscine, dans une clairiĂšre avec les arbres tout autour qui bruissent du deux femmes qui goĂ»tent Ă leur intimitĂ©. DĂšs que je caresse son piercing, je dĂ©clenche comme une onde qui se propage dans tout son corps avec un grondement que ma vulve longues minutes, nous nous donnons du plaisir. Je nâai pas de piercing, mais Armelle sait le trop courtes minutes et la jouissance suit le plaisir. Je coule alors que de mon cĂŽtĂ© je recueille la liqueur... Mon Dieu je nâai mĂȘme pas pensĂ© Ă ... Quelle conne je fais... Je nâaurais pas dĂ»...â-Ils sont libertins. Jâavoue que nous aussi. Nous Ă©changeons des secrets que je nâai jamais rĂ©vĂ©lĂ©s Ă personne. Elle aussi sâest laissĂ©e emportĂ©e par lâenvie. Mais, eux comme nous, faisons rĂ©guliĂšrement des tests et nous sommes tous clean. Ouf.â Oui nous allons Ă Cottabert. Câest une petite ville Ă 10 kilomĂštres dâici avec un club trĂšs discret.â Nous ne sommes encore jamais allĂ©s dans un club. Nous ce sont plutĂŽt des soirĂ©es privĂ©es.â Lâavantage de Cottabert et de son club ce nâest pas que la discrĂ©tion, câest aussi autre chose.â Ah bon et câest quoi ?â Tu veux jouer un peu avec moi ?â Jouer ?â Oui, un jeu... Un peu particulier, mais si excitant.â Ciel !â Alors câest dâaccord ?â Je dois faire quoi ?â Rien, ou si peu, câest justement une des particularitĂ©s de ce jeu. Toi tu ne fais rien, moi je fais tout.â Je suis impatiente.â Ne bouge pas, je reviens dans deux minutes. Elle revient. Un sac Ă la main. Elle en extrait un masque, plutĂŽt un bandeau.â LĂšve-toi. Je vais te mettre ce bandeau. Tu as dĂ©jĂ essayĂ© ?â Jamais.â Alors tu vas voir...Je me lĂšve. Elle tourne autour de moi pour me mettre le morceau de tissu, lâajuster.â Tu vas voir comme les sensations peuvent changer. Maintenant je vais te faire dĂ©placer. Dâaccord ?â me fait faire quelques pas qui nous rapprochent de la maison, de lâauvent.â Ne sois pas surprise. Laisse-toi faire, tu ne crains prend ma main, la tend vers le ciel, entraĂźnant mon bras. Elle la guide plus prĂ©cisĂ©ment. Elle la fait passer dans une sorte dâanneau de corde.â VoilĂ referme ta main sur la corde. Bien. Maintenant, desserre ta main et tire-la vers le mâexĂ©cute. Ma main est libĂ©rĂ©e alors quâavant je sentais une pression sur le poignet.â Parfait. Maintenant remonte le bras. Oui, un peu plus Ă gauche. Tu trouves lâanneau ? Passe ta main et referme... TrĂšs bien, tu as compris. Maintenant, je vais faire pareil pour ton autre main. Tu as saisi le principe. Tes deux mains seront attachĂ©es. AttachĂ©es, mais tu es libre de te dĂ©tacher toute seule. Tu vois le principe ? â Oui, mais cela sert Ă quoi ?â Tu nâes pas une petite idĂ©e ?â On dirait du SM.â Cela te fait peur ?â Je ne vois pas lâintĂ©rĂȘt.â Justement, je te propose que nous jouions sur cette idĂ©e. Tu veux bien ?â Dâaccord.â A partir de maintenant, tu nâas plus le droit de parler. Sauf si tu veux arrĂȘter. Tu dois au moins connaĂźtre cette rĂšgle immuable de ce jeu.â Oui. La claque me surprend. Elle nâest pas forte, mais la surprise a fait le reste.â Pas parler... Ne bouge pas, je vais te mettre des pinces Ă tĂ©ton. Tu connais ? Bouge la tĂȘte pour rĂ©pondre... Tu en as dĂ©jĂ portĂ© ?... Maintenant une chaĂźne autour du cou... Une chaĂźne avec une laisse, symbole de ta soumission... Cela te va trĂšs bien. On fera des photos aprĂšs pour que tu gardes un souvenir... Tu nâas rien contre ? Tu ne veux pas ? Dommage. Maintenant, ouvre la bouche... Bien, suce-le. Tu sais ce que câest ?... Ah et tu le portes comment ? Chez toi ? Dehors ? Pendant tes soirĂ©es ? A chaque question, je bouge la tĂȘte. Oui ou non suivant. Les poids des pinces Ă tĂ©ton tirent sur ma poitrine. La chaĂźne aussi pĂšse lourd. Le plug est me caresse. Elle mâembrasse. Je cherche ses lĂšvres. Mon corps recherche ses mains, sa envie de me dĂ©tacher et de fondre sur elle pour que nous jouissions elle arrĂȘte. Je suis super excitĂ©e. Elle a raison, bien entendu je lâavais lu aussi, le fait de ne rien voir sublime chaque chose. Ma position aussi. Je suis Ă sa merci. PrisonniĂšre. Mais une prisonniĂšre qui ne lâest en rĂ©alitĂ© que mentalement, curieuse de dĂ©couvrir...â Suce... Câest un gode vibrant. Je vais te le mettre. Tu vas voir il est spĂ©cial...Je suce. Je retiens mon souffle alors quâelle le glisse en moi. Je sens le plug bouger. Elle le fixe en passant une ceinture autour de mes reins. Ce nâest pas quâun gode, je sens aussi une pression sur mon petit Je nâai pu retenir ce cri de surprise alors quâelle vient de le mettre en marche. Câest une onde qui se rĂ©pond dans mon corps. Jâai mĂȘme lâimpression que le plug vibre aussi.â Je vais te fouetter chaque fois que tu parles. A toi de câest une suite sans fin, un cercle vicieux oĂč chaque coup de fouet, chaque changement dans les vibrations dĂ©clenchent des cris que je ne peux retenir. Heureusement, le fouet nâest pas de ceux des punitions dâantan, de ceux qui marquent les reins, arrachent la peau comme les trucages du cinĂ©ma le font voir. Pas de longues laniĂšres. Pas de cuir, du moins, je crois. Mais assez efficace tout de mĂȘme pour surprendre et deviner que ma peau doit rosir aux endroits oĂč il est au contact. Mes fesses, mes reins, mes cuisses, mais aussi, bien plus faible, sur mes seins, mon me tortille sous les coups. Les vibrations sont de plus en plus fortes. Je jouis. Je sens que je coule. Je crie dâarrĂȘter les vibrations. Je vais mourir si cela continue. Seuls les coups me font oublier cette jouissance qui ne cesse plus... Enfin cela secondes et elle me retire le bandeau. La lumiĂšre est vive. Elle me sourit.â Tu as aimĂ© ? Je nâose rĂ©pondre de la voix, je hoche la tĂȘte. Tu vois je tâavais dit. En plus tu es manifestement une Soumise qui sâignore. Mais je nâen ai pas fini avec baisse les yeux. Je suis son regard. Elle porte une excroissance qui jaillit de son intimitĂ©, excroissance noire, quâune ceinture dĂ©fait le gode me pĂ©nĂštre dâune longue poussĂ©e. Le sexe est long et gros, mais je suis si mouillĂ©e que câest un jeu pour me possĂšde. Nos regards ne se quittent que lâinstant oĂč nos lĂšvres se bon. Je suis Ă sa merci. Jamais je nâai eu tant de plaisir avec un mon petit trou oĂč le gode a remplacĂ© le plug ne sâest senti si bien ses mains sur mes ses mains sur mes cette longue tige qui... sâ-Ils sont revenus sales, fourbus, mais avec de bonnes nouvelles. Les dĂ©gĂąts sont limitĂ©s, peu de Mobil-Homes ont bougĂ© et encore seulement de quelques mĂštres. Le soleil a dĂ©jĂ fait sa part de travail. Marc est revenu avec toutes nos affaires. Lâeau nâest pas entrĂ©e Ă ce niveau...Je lui ai racontĂ©, en gros, Ă©vitant la partie SM, de ce que nous les femmes avons fait. Il ne me gronde pas alors quâen principe aucun de nous ne doit avoir ce genre de relation sans que lâautre nâen soit prĂ©venu. â Cas de force majeure." Il dit tout en me questionnant sur ma partenaire et ce quâelle mâa dit de son couple. Le dĂźner a Ă©tĂ© bien arrosĂ©. On a cĂ©lĂ©brĂ© la bonne nouvelle. Lorsque Roger a dit â Mais vous pouvez rester autant que vous voulez." Jâai bien vu Ă son regard et son sourire quâArmelle avait aussi parlĂ© Ă son mari. Il fait doux. Il ne reste que la lumiĂšre du salon, lumiĂšre diffuse, et nous voyons les Ă©toiles sâilluminer une Ă une. Quand je dis une Ă une, il faut traduire million par million. Il y a longtemps que je nâavais retrouvĂ© un tel ciel nocturne, la Voie lactĂ©e...Et puis...â Sais-tu Marc, alors que nous travaillions pour dĂ©gager ce camping de sa gangue de boue, que nos Ă©pouses se sont bien amusĂ©es ?â Oui, je sais, avec CloĂ© on se dit tout.â Ah vous aussi. Câest bien. Câest indispensable pour quâun couple perdure.â Je suis dâaccord avec toi. LibertĂ©, sincĂ©ritĂ©...â Je ne sais pas pour toi, mais je suis un peu jaloux. Je trouve que cela mĂ©rite une punition.â Une punition ?â Oui, je vais te montrer. Armelle Ă©pouse se lĂšve de son fauteuil et sâapproche de son mari. Il lui prend la main, la forçant Ă sâallonger sur lui. SpontanĂ©ment, elle se place dans une position qui offre sa croupe aux mains de repousse la jupe. Il lĂšve la main, il lâabaisse. Le coup rĂ©sonne dans la nuit. La claque nâest pas feinte, elle est bien rĂ©elle. Mais elle nâest pas seule, dâautres chaque coup, il lui parle â Est-ce que câĂ©tait bien ? â Oui, trĂšs bon. La claque ponctue la rĂ©ponseâ Vous vous ĂȘtes gouinĂ©es ?â Oui. MĂȘme musique.Question aprĂšs question, chacune plus indiscrĂšte que la prĂ©cĂ©dente est le prĂ©texte de tout dĂ©voiler de nos jeux. Je nâavais pas tout dit Ă Marc, en particulier lorsque jâai Ă©tĂ© une Soumise.â Tu ne punis pas ton Ă©pouse ?â Câest-Ă -dire que je nâai jamais...Pourtant je sens une sorte de reproche lorsquâil me regarde.â Si tu veux, je peux mâen occuper. Pendant ce temps, Armelle se fera un plaisir de sâoccuper de toi. Ăchange de bons procĂ©dĂ©s.â Pourquoi pas !Câest sa vengeance. Je ne lui ai pas tout dit. Jâavais un peu honte de mâĂȘtre laissĂ©e emporter dans ce dĂ©lire et lâavouer sans lâambiance du moment aurait paru bien dĂ©placĂ© alors que sur le moment câĂ©tait comme un Ă©change. La ligne de dĂ©marcation est la table sur laquelle reposent nos digestifs et liqueurs. Si Armelle me sourit en me croisant, je me sens moins voici devant Roger. Il me regarde, goguenard.â Alors ma poulette, il paraĂźt que tu as bien aimĂ© avec je ne rĂ©ponds pas.â Si tu commençais par mâenlever tout "tout cela" est ce que je porte, câest Ă©vident. Je tourne la tĂȘte vers Marc pour avoir son soutien, mais je vois que dĂ©jĂ Armelle est nue et entreprend de dĂ©faire le zip du ne peux me dĂ©filer. Pourtant je nâai pas particuliĂšrement envie de me faire fesser par cet homme. Un beau mec, Ă la rigueur, bien musclĂ©...Il tire sur ma main. BientĂŽt me voici sur ses genoux. Il sâest arrangĂ© pour que je puisse voir de lâautre cĂŽtĂ© de la table, qui assez haute, laisse voir sous le suce. Il me punit. Ses coups sont bien moins forts que ceux pour son Ă©pouse. Je proteste pour le principe.â CloĂ© tâa dit quâelles ont Ă©changĂ© nos tests ?â Non. Câest vraie ChĂ©rie ?â Oui.â Armelle ?â Oui, mon amour.â Allonge-toi sur la se lĂšve, repousse rapidement ce qui pouvait encombrer et sâallonge.â ne se fait pas prier. Il se lĂšve Ă son tour et trouve le chemin entre les cuisses ouvertes et aprĂšs un dernier regard vers nous...Je ne vois plus que ses jambes et celles dâArmelle qui pendent.â A mâaide Ă me relever. En rĂ©alitĂ© câest pour me faire agenouiller devant lui. Il nâattend pas que je mâattaque Ă son zip, il repousse son short et comme il ne porte rien dessous, son sexe apparaĂźt. Il est au regard de lâhomme, homme qui vient dans la foulĂ©e de faire sauter son tee-shirt. Torse poilu comme devait lâĂȘtre celui de nos ancĂȘtres qui peuplaient ce continent dans des temps immĂ©moriaux. Fourrure pour garder au chaud pendant les hivers terribles. Pourtant la fourrure est maĂźtrisĂ©e vers le sexe et les bourses. Homme des cavernes, ours mal lĂ©chĂ©, mais amateur de femmes qui sait offrir sa virilitĂ© Ă nos gros, travaillĂ© par des veines saillantes, le gland cachĂ© par une peau qui semble rugueuse. Les bourses forment un sac qui pend, nettement dĂ©tachĂ© du reste...â Quâest-ce que tu attends, suce-moi. Ton mari te regarde. Ne le déçois pas. Ne me déçois comme une gifle. Il me prend pour qui ? Pour une allumeuse ? Il va voit, mais trĂšs vite jâai mal aux lĂšvres. Pourtant il se dĂ©ploie dĂšs que je le suce et le bande. Il est vraiment gros. Gros, mais pas trĂšs long, bien loin de ces sexes qui font le jour et la nuit sur la toile.â Je me lĂšve. Lui aussi. Il sâapproche de sa femme. Elle le voit arriver. Elle ouvre la bouche. Il avance son bĂąton. BientĂŽt les lĂšvres se referment sur la pointe.â Mets-toi derriĂšre moi. Je me plaque contre son dos. Ma peau dĂ©couvre la rĂ©alitĂ© de son duvet. Mes tĂ©tons apprĂ©cient la tiĂ©deur. Mets une de tes mains sous mes bourses. De lâautre, inattendue. Son corps me cache son sexe et le visage dâArmelle. Mais je suis sous le regard de mon mari qui lui baise lâ Ă©trange. Je caresse les bourses. La peau en est douce, les deux boules bien distinctes dans leur protection perverse. Je sens par ma main qui le branle que le bĂąton avance et recule dans la gorge dâ suis collĂ©e Ă lui. Mes seins et mon ventre bougent comme lui. Il baise sa femme. Les deux hommes se font face. Un corps les relie. Une vulve et une gorge les vois bien que Marc a son plaisir qui monte. Je le connais mon homme, surtout depuis que nous "Ă©changeons", oĂč jâai la possibilitĂ© de mieux le voir que dans lâintimitĂ© de notre chambre. Câest lâavantage de ces Ă©changes. Apprendre par dâautres ce qui apporte du plaisir Ă son partenaire, dĂ©couvrir des pratiques ou des façons qui lui plaisent...Roger doit le voir aussi, car lui aussi comme une confrontation. Un deal muet. Les deux hommes nâont pas besoin de se parler. Ils savent ce quâils veulent. Ce quâils veulent câest jouir en mĂȘme temps, inonder la vulve, remplir la gorge...Harmonie ! Oui, malgrĂ© la scĂšne scabreuse, nous sommes en harmonie. Harmonie des corps ! Harmonie des esprits ! Les regards Ă©changĂ©s sont dâune intensitĂ© rare. Lorsque je croise celui de mon mari, jây dĂ©couvre le plaisir, le bonheur. Je ne vois pas celui de Roger, mais son corps me parle. Oui... Sauf Armelle... Elle, ce ne sont pas nos yeux quâelle voit, mais le mandrin gluant de son mari, les bourses de son mari qui opacifie son horizon...Oh, ce rĂąle lorsquâil balance son sperme dans la vulve !Ah, ces secousses qui Ă©branlent le corps de Roger !Ătrangement, Armelle ne bouge pas. Son visage est "ravagĂ©â. Jâen connais la rĂ©alitĂ©, ayant dĂ©jĂ eu lâoccasion dâĂȘtre Ă sa place. Cette position est Ă double dĂ©tente. Dâabord le cĂŽtĂ© "psychologique" qui donne Ă lâhomme une impression de domination. Ensuite "technique", le mandrin sâalignant plus facilement avec la gorge. La salive a inondĂ© son visage. Le sperme de son mari a "dĂ©bordĂ©", submergeant le barrage de ses se tourne vers moi. Il me parle Ă lâoreille.â Ce matin, dans vos baisers, il manquait un ingrĂ©dient. voix est suave, sensuelle, provocatrice, mais la main sur mon Ă©paule montre quâil nâacceptera pas un regarde Marc. Sâil sâest retirĂ© de la femme, il reste sans bouger. Je rĂ©alise quâil attend, que dâune certaine façon, lui aussi considĂšre que notre hĂŽte est Ă la manĆuvre. La main se fait pressante. Je regarde vers quoi, vers qui, il veut que je me dirige. Le regard dâArmelle est malicieux, le sourire baveux, mais pervers. Elle doit bien connaĂźtre son mari et doit savoir ses envies, ses la pression, je me baisse, je mâagenouille. Je pose mes lĂšvres sur celles de la femme. Câest gras, humide, baveux. Le goĂ»t est celui du foutre. Plus dâune fois, jâai goĂ»tĂ© Ă la semence de Marc, mĂȘme une fois comme maintenant dans un baiser avec celle qui venait de le pomper. Mais jamais ainsi, le sperme dâun mâattire Ă elle. La position est inconfortable, baiser inversĂ©, mais sa langue trouve la mienne. Dans un baiser pervers, elle me fait partager ce que son mari a libĂ©rĂ© dans sa gorge accueillante. ReconnaĂźtre que câest excitant ? Non, pas vraiment. Je me sens vicieuse et perverse comme jamais mĂȘme si ce nâest pas moi qui ai voulu cela. â Câest bien. Maintenant tu vas goĂ»ter Ă celui de ton mari. Quâest-ce que tu en penses, Marc ?â Pourquoi pas !Le coquin. Il laisse faire. Il est vrai que câest la premiĂšre fois que nous tombons sur un couple Ă©changiste avec un homme aussi directif et vicieux. Roger me fait relever et me pousse pour mâallonger sur Armelle dans un 69 particulier. Je suis plus grande quâelle et sa fente mâest accessible alors que je suis encore les pieds sur le fente suinte. Jây dĂ©couvre la liqueur de mon mari. Je la goĂ»te. Je la dĂ©guste. Je suis la pire des pire des salopes qui excite mon mari. A moins que ce soit une nouvelle envie dâArmelle. Il bande...Mais derriĂšre moi, une main puissante me plaque. La bouche dâArmelle me gouine. Je sens la pression du sexe. Jâimagine lâespace dâun instant la langue efficace de la femme, lĂ©cher son mari pour le rendre plus pression est plus forte. Mes hanches sont agrippĂ©es par deux mains entre. Il est entrĂ©. Ce monstre de la prĂ©histoire est entrĂ© dans mon vagin. Il glisse doucement, repousse les chairs, fait son chemin, me remplit comme jamais aucun sexe dâhomme ne lâa fait.â La vache que câest bon. Elle est Ă©troite comme une pucelle. Marc, ton Ă©pouse est une perle. Si tu veux reprendre Armelle, ne te gĂȘne pas. Elle a toujours sexes qui possĂšdent. Jâen vois passer un qui envahit la vulve de ma complice. Lâautre me baise avec douceur. Je dois lui reconnaĂźtre cette dĂ©licatesse. Il sait que son engin est diffĂ©rent des autres. En tout cas de ceux que jâai rencontrĂ©s lors de nos soirĂ©es...Le sexe de mon mari est bien dur, bien tendu. Je lâai sous les yeux. Je le vois entrer et sortir, avancer et reculer, se faisant voir humide des envies de sa maĂźtresse et de ce quâil a libĂ©rĂ© en elle quelques minutes sexe de mon mari me semble soudain plus ne vois rien. Mon horizon est un bĂąton de chair et la dĂ©licatesse des petites lĂšvres de la femme. Armelle est comme moi, aveuglĂ©e par le monstre de son ne vois rien, mais je sais que nos hommes qui se font face retrouvent cette complicitĂ© masculine, en particulier lorsquâils baisent la femme de lâ sexe de mon mari est plus vulve est pleine, puis libĂ©rĂ©e, puis reprise au mĂȘme rythme. Quâils en soient conscients ou pas, ils se de plus en plus rapide et puissant. Je gronde. Je sens quâArmelle aussi.â Jâai envie de son petit trou. Tu crois que je peux ?Câest dingue, il parle comme si je ne pouvais pas lui rĂ©pondre. Non, il sâadresse Ă Marc. Toujours cette idĂ©e que la femme appartient Ă lâhomme. Pourtant câest un couple Ă©changiste. A moins que pendant leurs virĂ©es, ce soit lui qui dĂ©cide pour Madame et quâelle ne soit pas libre de ses choix ?â Si tu as envie, toi aussi tu nâai pas entendu la rĂ©ponse de Marc, mais il a dĂ» faire un "Oui" de la tĂȘte. Le coquin, cela doit lâamuser. Il sait combien je suis libre de choisir qui et comment. Je devine un sourire dĂ©jĂ , le monstre se frotte Ă mon Ćillet. Les mains qui me tenaient aux hanches se dĂ©placent pour ouvrir ma raie. Il doit vouloir regarder son Ćuvre. Je respire calmement. Je fais ce quâil faut pour que la barriĂšre puisse cĂšde. Il est entrĂ©. Je nâai pas mal, mais la pression me paraĂźt puis, je vois Marc faire de mĂȘme. Son sexe plie un peu et puis sexes qui possĂšdent. Cette fois-ci, Roger reste silencieux. Mais câest moi qui ne peux me retenir. Chacun de ses mouvements apprivoise mon "cul". Oui je dis "cul", car cela ne sert Ă rien de se cacher derriĂšre des mots petit trou, porte de derriĂšre... Il mâencule et Marc fait la mĂȘme chose avec son nous enculent. Mes cris sont attĂ©nuĂ©s par la fente dâArmelle, mais ils ne peuvent pas ĂȘtre confondus avec des cris de douleur. Je sens ce monstre en moi. Je sens chacun de mes muscles lâĂ©treindre avec envie. Il me remplit le cul. Il dĂ©clenche du plaisir. Je mouille du cul. Je suis une traĂźnĂ©e qui prend du plaisir alors quâun homme lâenfile avec un monstre si... Si suis une femelle qui hurle son suis une chienne quâon encule sans retenue. Je suis une salope qui regarde le mandrin de son mari enculer une suis... Je suis...Mais je ne suis pas seule. Jâentends les gĂ©missements dâArmelle que mon mari laboure. Jâentends les souffles des hommes qui se font du bien. Deux mĂąles que leur nature emporte, conquĂ©rants, envahisseurs...Il mâinonde. OĂč peut bien aller se loger tout ce que ses bourses me dĂ©livrent ?Je nâai jamais Ă©tĂ© seule. Nous sommes quatre que mĂšre nature comble et chĂ©rit. Un jardin dâĂden du sexe...â-Une bonne douche pour "nettoyer" ce que lâamour a laissĂ© sur nos corps. Presque Ă regret. Contrairement Ă beaucoup de femmes, jâaime garder sur moi et en moi, mes jouissances et surtout celles de mon mari, de mes amants lorsquâils sont autorisĂ©s Ă jouir sur moi et mieux encore, en moi. Roger mâavait gĂątĂ©e et pendant un long moment jâai senti son sperme suinter de mon anus et couler le long de mes vicieuse cette femme ! Si jeune et dĂ©jĂ dĂ©pravĂ©e. !Je le revendique et nâautorise personne Ă me juger. Sauf Marc bien entendu, mon tendre et cher mari, amant gĂ©nĂ©reux, partageur, prĂȘt Ă tout pour mon bonheur et mon bon bain. Que câest bon, sous les Ă©toiles, dans une eau que le soleil dâĂ©tĂ© a est quelle heure ? Quelle importance. Nous sommes quatre amis qui jouent, bavardent, chahutent dans la et moi bavardons, tranquillement assises sur la margelle, les jambes dans lâeau. Nous avions dĂ©jĂ sympathisĂ© ce matin, en paroles et en actes, sautant les Ă©tapes dans une joyeuse sexualitĂ©. Les agapes de cette soirĂ©e, parfaite prolongation Ă quatre de ce que nous avions commencĂ© Ă deux, nous ont encore plus si intimes que nous les chuchotons pendant que nos Ă©poux font preuve de leurs qualitĂ©s bonheur. Et puis Marc jaillit comme un diable devant nous. Il a pied et son visage se retrouve prĂšs de nos intimitĂ©s. Un regard, une lueur coquine et le voilĂ qui nous entreprend de ses caresses. Bonnes filles, nous ouvrons nos cuisses pour lui faciliter lâaccĂšs. Il nâa quâune bouche, mais pendant quâil lutine lâune, ses mains se chargent de lâautre. Câest bon, dĂ©licat, naturel, spontanĂ©. Ce petit jeu attire lâattention de lâautre Ă©poux. Roger qui sâapproche. Lui aussi a pied. Sa toison est collĂ©e contre son corps, mais cela ne fait quâappuyer sa virilitĂ©. Il sâapproche. Un instant, je pense quâil va se joindre Ă mon mari, mais non. Il se colle tout contre lui et en se penchant lui parle Ă lâoreille. Mais aussi, tout en lui parlant, il est manifeste quâil se frotte contre son dos, contre ses fesses, et il ne faut pas ĂȘtre devin pour imaginer que câest son sexe quâil lui fait sentir.â Jâai envie de toi. Tu sens comme tu mâexcites ?Il chuchote, mais pas assez doucement pour que nous ne lâentendions pas. Dâailleurs, le regard quâil me jette en est la preuve. Son sourire est de connivence. Il fait de moi sa complice. Dâailleurs dâune certaine façon, ce sont mes confidences Ă Armelle qui permettent cette libertĂ© entre les hommes. Lorsquâelle Ă©tait arrivĂ©e avec le gode ceinture, que je la questionnais si câĂ©tait pour son usage et quâelle mâavait rĂ©pondu â Non, câest pour Roger.â Pour Roger ? Avais-je dit, surprise de cette rĂ©ponse.â Oui, mon ours de mari sait se faire nounours dans certaines circonstances.â Tu veux dire que tu le...â Moi et dâautres. Il prĂ©fĂšre de loin avec un homme, plutĂŽt quâavec ce truc artificiel. Mais il sait aussi donner et ne pas que recevoir.â Tu veux dire actif et passif ?â VoilĂ . Et ton mari ?Alors face Ă cette confidence si personnelle, je mâĂ©tais sentie en confiance. Jâavais donc avouĂ© le nouveau penchant de Marc. Penchant dĂ©couvert la fois oĂč un mari voulait bien cĂ©der son Ă©pouse, mais pas seulement pour un Ă©change, pour un peu plus, pour le plaisir pervers de possĂ©der celui qui baisait sa tendre femme. Marc avait Ă©tĂ© surpris, mais sur le moment ne voulant pas paraĂźtre peu au fait de ces jeux, avait fait comme si câĂ©tait naturel pour lui. Et ma foi il avait bien apprĂ©ciĂ©. ApprĂ©ciĂ© au point de recommencer. Recommencer parfois en actif, parfois en passif...Et de fil en aiguille mes confidences avaient fait que Roger se sentait en territoire Ă©tait claire. Roger ne sâembarrassait pas de grandes phrases. Mais câest lâOurs qui lâinvitait refuser ?â Mesdames, vous voulez bien me cĂ©der votre partenaire ?Comment refuser ?Alors Roger se saisit de la main de Marc. Ils sortent de lâeau. Les marches montrent un curieux spectacle. Mon mari, sexe en Ă©rection entraĂźnĂ© par un homme, Roger, dont le sexe est lui-mĂȘme bien en couple. Pourtant Roger lâentraĂźne. Il lâamĂšne vers le siĂšge Ă balancelle. Sur ses indications, Marc monte Ă genoux, le torse vers le et moi nous nous levons pour les ne fait pas trĂšs clair et pourtant la situation est troublante. Marc est dans une position terrible, terrible de perversitĂ©, entraĂźnĂ© par celui qui a clairement annoncĂ© quâil avait envie de lui. Et envie de lui nâavait quâune signification, quâun nâest pas rassurĂ©, je le vois bien. Il se retourne et constate que Roger est en train dâĂ©taler gĂ©nĂ©reusement du lubrifiant sur son sexe. Lâengin brille. Les Ă©clats en amplifient encore la taille. Marc doit sâinquiĂ©ter. Bien sĂ»r, il a vu cet engin me prendre par-devant et par-derriĂšre. Mais mon petit trou a largement plus de "vĂ©cu" que le sien.â Putain tu as un cul magnifique. Roger caresse les fesses de mon mari. Il est doux, les mouvements dĂ©licats. Il passe aussi par-devant et branle un peu le sexe qui ne faiblit pas. Inquiet, mais aussi peut-ĂȘtre envieux...Roger se baisse. Pendant quâil se glisse entre les fesses et explore de la bouche lâĆillet de Marc, il continue de le se dĂ©contracte. Il adore quâon lui fasse une feuille de rose et Ă lâinstant, ce sont les feuilles de tout un rosier qui lâ Roger se relĂšve. Nouvelles caresses des fesses, des reins, des hanches.â Belle femelle. Il dit manifestement pour reprend le lubrifiant. Maintenant, il le fait couler dans la raie et ses doigts le dirigent et lâĂ©talent. Un doigt. Deux soupir. Deux soupirs.â Rassure-toi, je serai dĂ©licat. Je sais que mon engin peut faire peur, mais il est plus doux quâon ne pense. Demande Ă ta femme...Bien sĂ»r, il ne me demande pas. Mais lorsquâil croise mon regard, je sens le questionnement, et mon sourire associĂ© Ă un battement des paupiĂšres doit le main sur les reins, lâautre qui guide son mandrin. Roger se place. La main sur les reins, largement Ă©talĂ©e est comme une prise de pouvoir...Un passant serait Ă©tonnĂ© du spectacle que nous donnons. Marc bien sĂ»r, femelle en attente du mĂąle. Roger qui par cette main marque son territoire et sans mĂȘme avoir poussĂ© plus en avant son dard, est sans conteste le maĂźtre du jeu. Et nous ! Moi surtout, Ă©pouse libertine qui regarde. Qui regarde, curieuse et presque impatiente de ce qui va se passer. Pourtant ce nâest pas la premiĂšre fois que je vois mon mari ainsi. Oui, mais pas Ă ce point. Mari dont les fesses bien que bronzĂ©es se dĂ©tachent sur le tissu sombre de la balancelle, dans cette position, sans pudeur, offrant son intimitĂ© aux yeux de tous. Il ne pousse pas. Non, câest nettement la main sur les reins qui imprime le mouvement. La balancelle vient vers lui. Oh, pas des mĂštres. MĂȘme pas un mĂštre. MĂȘme pas des centimĂštres. Non, quelques millimĂštres suffisent. Les fesses reculent. Lâanus va au-devant de ce champignon si impressionnant qui pourtant se dĂ©forme sous la pression. Roger insiste. Son dard est tout contre. La main qui le maintenait le libĂšre, mais la pression le maintient horizontal. La claque surprend tout le monde. Il nâa pas retenu son coup. La fesse doit rougir sous le coup, mais je ne le vois pas.â VoilĂ , dit effet, le gland est entrĂ©. Lâanus, le muscle rĂ©calcitrant a Ă©tĂ© pris par surprise et son relĂąchement a laissĂ© la place Ă lâ ne peux me retenir de me pencher. Le sphincter sâest ressaisi, mais câest trop tard. Il nâĂ©trangle que le sillon entre gland et suite est Ă©vidente. DĂ©concertante de facilitĂ©. Il a rendu les armes. Le lubrifiant le sĂ©duit. Il lui fait de lâĆil. Il lui sourit et voit passer devant lui un tronc bien poilu sur dos imberbe. La nature qui reprend ses deux mains sont maintenant sur les hanches. Elles rythment le mouvement de balancier. Il est dĂ©licat et "rode" le chemin. Marc ne cesse de soupirer. Câest fou comme les hommes sont "parlants" lorsquâils se font soupire. Il tourne son visage vers nous. Je vois ce quâil ressent. Ce pincement de nez, cette ride au coin des lĂšvres, le front accĂ©lĂšre. Il accĂ©lĂšre, mais aussi amplifie le balancement. Par moments, son dard revoit le jour, juste le temps de laisser lâĆillet bĂąiller dans une posture infamante. Mais il ne reste pas seul longtemps. â Coucou ! fait le gland. Salut mec, dit la hampe. Et nous, et nous, disent les bourses que la nature nâa pas prĂ©vu pour ce chemin...""Marc a oubliĂ© les soupirs. Ce sont des "Ah", des "Oh", et toute une panoplie de petits mots, de respirations qui le rapprochent de nous les puis Roger nous fait signe de venir sâasseoir de part et dâautre de son amant. Armelle comprend tout de suite ce quâil attend de nous. Câest elle qui imprime le balancement. Câest elle, et moi qui me suis associĂ©e pour ce mouvement si particulier. Ce sont nous les femmes qui rythmons la possession. BientĂŽt emportĂ©e par lâexcitation, les fesses de Marc claquent sur le ventre de son filles, nous caressons qui les hanches, qui les fesses, qui le ventre, qui le sexe toujours aussi dur. Marc ne peut nier que cela lui jouit avant Roger. Son foutre Ă©clabousse le tissu et nos annonce la couleur. Les "Je viens, je viens" sonnent comme une dĂ©cidĂ©ment affreusement perverses et vicieuses. Lâune va nettoyer le mandrin de Roger alors que lâautre lĂšche Ă la fontaine du cul...Tout le monde est repu. On va aller se coucher pour un repos bien â Vous devriez rester quelques jours. Avec Armelle, nous avons créé dans la praire et la forĂȘt tout autour un circuit SM. Une sorte de chemin de croix. Il rit. Croix de Saint-AndrĂ© bien sĂ»r. Vous me semblez dâexcellents candidats pour le tester. Ce serait une belle initiation... Sans aucun doute, vous avez de belles dispositions... Police
Unehistoire simple et vraie comme le titre du film,un homme et une femme seuls qui redécouvrent l'amour,le décor romantique de Deauville,une mélodie charmante,tous les ingrédients sont là pour faire de ce film une réussite.Plus de quarante ans plus tard,le charme opÚre toujours. En lire plus . 7 personnes ont trouvé cela utile. Utile. Signaler un
Image DR. La sexualitĂ© peut ĂȘtre un sujet difficile Ă aborder, notamment lorsquâil sâagit de faire lâamour avec un partenaire pour la premiĂšre fois. ConsidĂ©rĂ© comme tabou, le sexe peut crĂ©er un fossĂ© entre les attentes dâun partenaire et les gestes de lâautre. En rĂ©alitĂ©, la communication est la clĂ© pour avoir une vie sexuelle Ă©panouissante. Dans ce sens, une femme, qui se qualifie de ârondeâ, nâa pas hĂ©sitĂ© Ă lever le voile sur ce quâelle attend dâun rapport sexuel, comme le rĂ©vĂšle le magazine Vice. SommaireUne femme fiĂšre de son corpsDes conseils aux hommes pour faire lâamour Ă une femme en surpoidsNe pas nĂ©gliger le bas du ventreĂviter les comparaisonsFaire preuve dâimaginationĂtre Ă lâĂ©coute de ses besoinsNe pas se forcerPour ĂȘtre sĂ»r de procurer Ă son/sa partenaire du plaisir, la communication est de mise. En effet, personne ne peut anticiper les besoins et les envies de lâautre, mĂȘme avec toute la bonne volontĂ© du monde. Parfois, on sâimagine quâune femme en surpoids a des complexes quâelle chercherait Ă dissimuler en particulier lors dâun rapport pourtant, vivre un plaisir inouĂŻ implique de se dĂ©livrer de toutes ces barriĂšres psychologiques pour profiter pleinement de lâacte sexuel. Dans cette logique, Gina Tonic, rĂ©dactrice, donne des conseils aux hommes qui souhaitent faire lâamour avec une femme en surpoids. Son tĂ©moignage a Ă©tĂ© publiĂ© par le magazine femme fiĂšre de son corpsDans son compte Instagram, Gina affiche de maniĂšre ostentatoire son attachement Ă la tendance du body positive. MalgrĂ© son surpoids, elle nâĂ©prouve aucune gĂȘne Ă poster des photos pour dĂ©montrer que les rondes sont belles. La femme explique que lorsquâelle Ă©tait adolescente, elle avait lâhabitude de dissimuler ses formes sous un sweat Ă capuche. Seulement, Ă 26 ans, elle a appris Ă accepter ses rondeurs et Ă en faire sa plus grande sus, elle considĂšre que son surpoids lui donne un avantage non nĂ©gligeable lors dâun rapport sexuel. âLorsque vous couchez avec une personne en surpoids, vous pouvez presser votre ventre contre le sien, vous agripper Ă ses pommes dâamour et jouir de lâĂ©paisseur de sa chair en toute intimitĂ©â, affirme-t-elle. Toutefois, quand elle fait lâamour avec un homme pour la premiĂšre fois, il lui arrive de ressentir son il ne sait pas sây prendre, soit il ne sâattendait pas Ă ce quâelle soit aussi enrobĂ©e, et dans les deux cas, la relation peut devenir rapidement chaotique. Ainsi, Gina prĂ©fĂšre sâadonner aux joies du sexe avec des fĂ©tichistes, ou avec des hommes qui nâont rien contre les femmes en conseils aux hommes pour faire lâamour Ă une femme en surpoidsOn connait tous les bienfaits du sexe pour la santĂ©. Mais pour rendre le moment intime moins gĂȘnant et donc plus agrĂ©able, Gina fournit un guide trĂšs captivant oĂč elle offre de prĂ©cieux conseils aux hommes qui souhaitent avoir une relation sexuelle avec une femme en pas nĂ©gliger le bas du ventreCertains hommes pensent que la bouĂ©e du ventre est un complexe et nâosent pas sâen approcher. Pourtant, Gina explique que lorsquâun homme Ă©vite de toucher cette zone, cela ne la rend pas moins visible. âMes meilleures parties de jambes en lâair ont Ă©tĂ© celles au cours desquelles on mâa agrippĂ© le ventre comme si câĂ©tait un troisiĂšme seinâ, les comparaisonsParfois, Gina a pu entendre des hommes affirmer âjâai toujours voulu coucher avec une grosseâ ou encore âje prĂ©fĂšre une fille ronde Ă une minceâ. Ces propos, qui Ă©manent probablement dâune bonne intention, peuvent rendre lâambiance preuve dâimaginationLa femme considĂšre Ă©galement quâun bon amant peut profiter de sa crĂ©ativitĂ© pour rendre le rapport sexuel inoubliable. NĂ©anmoins, il devra penser Ă lâaspect pratique et au confort de sa partenaire durant lâacte pour ne pas le rendre douloureux ou Ă lâĂ©coute de ses besoinsUn homme peut parfois chercher Ă imposer certaines positions Ă sa partenaire sans forcĂ©ment prendre son avis. Mais pour que le rapport sexuel soit plaisant, il est nĂ©cessaire de connaitre les choses que les femmes veulent faire pendant lâamour et de sâintĂ©resser aux besoins intrinsĂšques de sa partenaire. Ainsi, si elle dit ânonâ, ce nâest pas la peine dâessayer de la persuader de se laisser pas se forcerPar ailleurs, Gina explique que faire lâamour avec une femme en surpoids ne doit pas se faire en dĂ©sespoir de cause. Ce nâest pas parce quâun homme nâa pas trouvĂ© chaussure Ă son pied pendant une soirĂ©e quâil doit se rĂ©signer Ă avoir un rapport sexuel avec une âgrosseâ. Lire aussi Quels sont les endroits oĂč les gens prĂ©fĂšrent faire lâamour ?
DeuxiĂšmeerreur : ne pas avoir une haleine fraĂźche, faire pĂ©nĂ©trer sa langue en force. Ăvidemment, aucune femme ne veut et ne dĂ©sire en aucun point embrasser un homme qui sent lâalcool ou qui a une mauvaise haleine. En plus dâĂȘtre parmi les 4 erreurs que font les hommes avant d embrasser une femme, cela est mĂȘme considĂ©rĂ© comme un
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Lhomme GĂ©meaux amoureux est un homme heureux. Il croque la vie Ă pleines dents, il passe ses journĂ©es Ă rire ou Ă plaisanter. Quand il est avec vous, il aura toujours le sourire aux lĂšvres. Que vous ayez un excellent sens de lâhumour ou non, ne vous en faites pas, le GĂ©meaux est peu critique et rigole facilement.
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