PoemeMa Fille Ma Fierté - Le Plus Rapide Mon Fils Ma Vie Ma Fierte.De nemours, qu'elle ne peut s'empêcher d. Meilleurs voeux 18 ans de sa fille. « ne craignez point de prendre des partis trop rudes et trop difficiles, quelque affreux qu'ils vous paraissent d'abord : Adolescent affectueuse que tu es ma fille adulte en devenir, jeune femme pleine d'avenir sache que tes Une femme est comme votre ombre courez après, elle vous fuit ; fuyez-la, elle court après vous. I Le sofa sur lequel Hassan était couché Était dans son espèce une admirable chose. Il était de peau d'ours, — mais d'un ours bien léché ; Moelleux comme une chatte, et frais comme une rose Hassan avait d'ailleurs une très noble pose, Il était nu comme Ève à son premier péché. II Quoi ! tout nu ! dira-t-on, n'avait-il pas de honte ? Nu, dès le second mot !-Que sera-ce à la fin ? Monsieur, excusez-moi, — je commence ce conte Juste quand mon héros vient de sortir du bain Je demande pour lui l'indulgence, et j'y compte. Hassan était donc nu, — mais nu comme la main, III Nu comme un plat d'argent, — nu comme un mur Nu comme le discours d'un académicien. Ma lectrice rougit, et je la scandalise. Mais comment se fait-il, madame, que l'on dise Que vous avez la jambe et la poitrine bien ? Comment le dirait-on, si l'on n'en savait rient IV Madame alléguera qu'elle monte en berline ; Qu'elle a passé les ponts quand il faisait du vent ; Que, lorsqu'on voit le pied, la jambe se devine ; Et tout le monde sait qu'elle a le pied charmant Mais moi qui ne suis pas du monde, j'imagine Qu'elle aura trop aimé quelque indiscret amant. V Et quel crime est-ce donc de se mettre à son aise, Quand on est tendrement aimée, — et qu'il fait chaud ? On est si bien tout nu, dans une large chaise ! Croyez-m'en, belle dame, et, ne vous en déplaise, Si vous m'apparteniez, vous y seriez bientôt. Vous en crieriez sans doute un peu, — mais pas bien haut, VI Dans un objet aimé qu'est-ce donc que l'on aime ? Est-ce du taffetas ou du papier gommé ? Est-ce un bracelet d'or, un peigne parfumé ? Non, — ce qu'on aime en vous, madame, c'est vous même. La parure est une arme, et le bonheur suprême, Après qu'on a vaincu, c'est d'avoir désarmé. VII Tout est nu sur la terre, hormis l'hypocrisie ; Tout est nu dans les cieux, tout est nu dans la vie, Les tombeaux, les enfants et les divinités. Tous les cœurs vraiment beaux laissent voir leurs beautés Ainsi donc le héros de cette comédie Restera nu, madame, — et vous y consentez. VIII Un silence parfait règne dans cette histoire Sur les bras du jeune homme et sur ses pieds d'ivoire La naïade aux yeux verts pleurait en le quittant. On entendait à peine au fond de la baignoire Glisser l'eau fugitive, et d'instant en instant Les robinets d'airain chanter en s'égouttant. IX Le soleil se couchait ; — on était en septembre Un triste mois chez nous, — mais un mois sans pareil Chez ces peuples dorés qu'a bénis le soleil. Hassan poussa du pied la porte de la chambre. Heureux homme !-il fumait de l'opium dans de l'ambre, Et vivant sans remords, il aimait le sommeil. X Bien qu'il ne s'élevât qu'à quelques pieds de terre, Hassan était peut-être un homme à caractère ; Il ne le montrait pas, n'en ayant pas besoin Sa petite médaille annonçait un bon coin. Il était très bien pris ; — on eût dit que sa mère L'avait fait tout petit pour le faire avec soin. XI Il était indolent, et très opiniâtre ; Bien cambré, bien lavé, le visage olivâtre, Des mains de patricien, — l'aspect fier et nerveux, La barbe et les sourcils très noirs, — un corps d'albâtre. Ce qu'il avait de beau surtout, c'étaient les yeux. Je ne vous dirai pas un mot de ses cheveux ; XII C'est une vanité qu'on rase en Tartarie. Ce pays-là pourtant n'était pas sa patrie. Il était renégat, — Français de nation, — Riche aujourd'hui, jadis chevalier d'industrie, Il avait dans la mer jeté comme un haillon Son titre, sa famille et sa religion. XIII Il était très joyeux, et pourtant très maussade. Détestable voisin, — excellent camarade, Extrêmement futile, — et pourtant très posé, Indignement naïf, — et pourtant très blasé, Horriblement sincère, — et pourtant très rusé Vous souvient-il, lecteur, de cette sérénade XIV Que don Juan, déguisé, chante sous un balcon ? -Une mélancolique et piteuse chanson, Respirant la douleur, l'amour et la tristesse. Mais l'accompagnement parle d'un autre ton. Comme il est vif, joyeux ! avec quelle prestesse Il sautille !-On dirait que la chanson caresse XV Et couvre de langueur le perfide instrument, Tandis que l'air moqueur de l'accompagnement Tourne en dérision la chanson elle-même, Et semble la railler d'aller si tristement Tout cela cependant fait un plaisir extrême. — C'est que tout en est vrai, — c'est qu'on trompe et XVI C'est qu'on pleure en riant ; — c'est qu'on est innocent Et coupable à la fois ; — c'est qu'on se croit parjure Lorsqu'on n'est qu'abusé ; c'est qu'on verse le sang Avec des mains sans tache, et que notre nature A de mal et de bien pétri sa créature Tel est le monde, hélas ! et tel était Hassan. XVII C'était un bon enfant dans la force du terme ; Très bon-et très enfant ; — mais quand il avait dit Je veux que cela soit , il était comme un terme. Il changeait de dessein comme on change d'habit ; Mais il fallait toujours que le dernier se fît. C'était un océan devenu terre ferme. XVIII Bizarrerie étrange ! avec ses goûts changeants, Il ne pouvait souffrir rien d'extraordinaire Il n'aurait pas marché sur une mouche à terre. Mais s'il l'avait trouvée à dîner dans son verre, Il aurait assommé quatre ou cinq de ses gens - Parlez après cela des bons et des méchants ! XIX Venez après cela crier d'un ton de maître Que c'est le cœur humain qu'un auteur doit connaître ! Toujours le cœur humain pour modèle et pour loi. Le cœur humain de qui ? le cœur humain de quoi ? Celui de mon voisin a sa manière d'être ; Mais morbleu ! comme lui, j'ai mon cœur humain, moi. XX Cette vie est à tous, et celle que je mène, Quand le diable y serait, est une vie humaine. Alors, me dira-t-on, c'est vous que vous peignez, Vous êtes le héros, vous vous mettez en scène -Pas du tout, — cher lecteur, — je prends à l'un le nez -À l'autre, le talon, — à l'autre, — devinez. XXI En ce cas vous créez un monstre, une chimère, Vous faites un enfant qui n'aura point de père. -Point de père, grand Dieu ! quand, comme Trissotin J'en suis chez mon libraire accouché ce matin ! D'ailleurs is pater est quem nuptiae... j'espère Que vous m'épargnerez de vous parler latin. XXII Consultez les experts, le moderne et l'antique ; On est, dit Brid'oison, toujours fils de quelqu'un . Que l'on fasse, après tout, un enfant blond, ou brun, Pulmonique ou bossu, borgne ou paralytique, C'est déjà très joli, quand on en a fait un ; Et le mien a pour lui qu'il n'est point historique. XXIII Considérez aussi que je n ai rien volé A la Bibliothèque ; — et bien que cette histoire Se passe en Orient, je n'en ai point parlé. Il est vrai que, pour moi, je n'y suis point allé. Mais c'est si grand, si loin !-Avec de la mémoire On se tire de tout -allez voir pour y croire. XXIV Si d'un coup de pinceau je vous avais bâti Quelque ville aux toits bleus, quelque blanche mosquée, Quelque tirade en vers, d'or et d'argent plaquée, Quelque description de minarets flanquée, Avec l'horizon rouge et le ciel assorti, M'auriez-vous répondu Vous en avez menti ? XXV Je vous dis tout cela, lecteur, pour qu'en échange Vous me fassiez aussi quelque concession. J'ai peur que mon héros ne vous paraisse étrange ; Car l'étrange, à vrai dire, était sa passion. Mais, madame, après tout, je ne suis pas un ange. Et qui l'est ici-bas ?-Tartuffe a bien raison. XXVI Hassan était un être impossible à décrire. C'est en vain qu'avec lui je voudrais vous lier, Son cœur est un logis qui n'a pas d'escalier. Ses intimes amis ne savaient trop qu'en dire. Parler est trop facile, et c'est trop long d'écrire Ses secrets sentiments restaient sur l'oreiller. XXVII Il n'avait ni parents, ni guenon, ni maîtresse. Rien d'ordinaire en lui, — rien qui le rattachât Au commun des martyrs, — pas un chien, pas un chat. Il faut cependant bien que je vous intéresse A mon pauvre héros. — Dire qu'il est pacha, C'est un moyen usé, c'est une maladresse. XXVIII Dire qu'il est grognon, sombre et mystérieux, Ce n'est pas vrai d'abord, et c'est encor plus vieux. Dire qu'il me plaît fort, cela n'importe guère. C'est tout simple d'ailleurs, puisque je suis son père Dire qu'il est gentil comme un cœur, c'est vulgaire. J'ai déjà dit là-haut qu'il avait de beaux yeux. XXIX Dire qu'il n'avait peur ni de Dieu ni du diable, C'est chanceux d'une part, et de l'autre immoral. Dire qu'il vous plaira, ce n'est pas vraisemblable. Ne rien dire du tout, cela vous est égal. Je me contente donc du seul terme passable Qui puisse l'excuser -c'est un original. XXX Plût à Dieu, qui peut tout, que cela pût suffire A le justifier de ce que je vais dire ! Il le faut cependant, — le vrai seul est ma loi. Au fait, s'il agit mal, on pourrait rêver pire. Ma foi, tant pis pour lui -je ne vois pas pourquoi Les sottises d'Hassan retomberaient sur moi. XXXI D'ailleurs on verra bien, si peu qu'on me connaisse, Que mon héros de moi diffère entièrement. J'ai des prétentions à la délicatesse ; Quand il m'est arrivé d'avoir une maîtresse, Je me suis comporté très pacifiquement. En honneur devant Dieu, je ne sais pas comment XXXII J'ai pu, tel que je suis, entamer cette histoire, Pleine, telle qu'elle est, d'une atrocité noire. C'est au point maintenant que je me sens tenté De l'abandonner là pour ma plus grande gloire, Et que je brûlerais mon œuvre, en vérité, Si ce n'était respect pour la postérité. XXXIII Je disais donc qu'Hassan était natif de France ; Mais je ne disais pas par quelle extravagance Il en était venu jusqu'à croire, à vingt ans, Qu'une femme ici-bas n'était qu'un passe-temps. Quand il en rencontrait une à sa convenance, S'il la cardait huit jours. c'était déjà longtemps. XXXIV On sent l'absurdité d'un semblable système, Puisqu'il est avéré que, lorsqu'on dit qu'on aime, On dit en même temps qu'on aimera toujours, — Et qu'on n'a jamais vu ni rois ni troubadours Jurer à leurs beautés de les aimer huit jours. Mais cet enfant gâté ne vivait que de crème XXXV Je sais bien, disait-il un jour qu'on en parlait, Que les trois quarts du temps ma crème a le goût d'ailette Nous avons sur ce point un siècle de vinaigre, Où c'est déjà beaucoup que de trouver du lait Mais toute servitude en amour me déplaît ; J'aimerais mieux. je crois, être le chien d'un nègre, XXXVI Ou mourir sous le fouet d'un cheval rétif, Que de craindre une jupe et d'avoir pour maîtresse Un de ces beaux geôliers, au regard attentif, Qui, d'un pas mesuré marchant sur la souplesse Du haut de leurs yeux bleus vous promènent en laisse Un bâton de noyer, au moins, c'est positif. XXXVII On connaît son affaire, — on sait à quoi s'attendre ; On se frotte le dos, — on s'y fait par degré Mais vivre ensorcelé sous un ruban doré ! boire du lait sucré dans un maillot vert tendre ! N'avoir à son cachot qu'un mur si délabré, Qu'on ne s'y saurait même accrocher pour s'a pendre XXXVIII Ajoutez à cela que, pour comble d'horreur, La femme la plus sèche et la moins malhonnête Au bout de mes huit jours trouvera dans sa tête, Ou dans quelque recoin oublié de son cœur, Un amant qui jadis lui faisait plus d'honneur, Un cœur plus expansif, une jambe mieux faite XXXIX Plus de douceur dans l'âme ou de nerf dans les bras — Je rappelle au lecteur qu'ici comme là-bas C'est mon héros qui parle, et je mourrais de honte S'il croyait un instant que ce que je raconte, Ici plus que jamais, ne me révolte pas Or donc, disait Hassan, plus la rupture est prompte, XL Plus mes petits talents gardent de leur fraîcheur C'est la satiété qui calcule et qui pense. Tant qu'un grain d'amitié reste dans la balance. Le Souvenir souffrant s'attache à l'espérance Comme un enfant malade aux lèvres de sa sœur. L'esprit n'y voit pas clair avec les yeux du cœur. XLI Le dégoût, c'est la haine — et quel motif de haine Pourrais-je soulever ?— pourquoi m'en voudrait-on ? Une femme dira qu'elle pleure — et moi donc ! Je pleure horriblement ! — je me soutiens à peine ; Que dis-je, malheureux ! il faut qu'on me soutienne. Je n'ose même pas demander mon pardon. XLII Je me prive du corps, mais je conserve l'âme. Il est vrai, dira-t-on, qu'il est plus d'une femme Près de qui l'on ne fait, avec un tel moyen, Que se priver de tout et ne conserver rien. Mais c'est un pur mensonge, un calembour infâme, Qui ne mordra jamais sur un homme de bien XLIII Voilà ce que disait Hassan pour sa défense. Bien entendu qu'alors tout se passait en France, Du temps que sur l'oreille il avait ce bonnet Qui fit à son départ une si belle danse Par dessus les moulins. Du reste, s'il tenait A son raisonnement, c'est qu'il le comprenait. XLIV Bien qu'il traitât l'amour d'après un catéchisme, Et qu'il mit tous ses soins à dorer son sophisme, Hassan avait des nerfs qu'il ne pouvait railler. Chez lui la jouissance était un paroxysme Vraiment inconcevable et fait pour effrayer Non pas qu'on l'entendit ni pleurer ni crier. — XLV Un léger tremblement, — une pâleur extrême, — Une convulsion de la gorge un blasphème, — Quelques mots sans raison balbutiés tout bas, C'est tout ce qu'on voyait sa maîtresse elle-même N'en sentait rien, sinon qu'il restait dans ses bras Sans haleine et sans force, et ne répondait pas. XLVI Mais à cette bizarre et ridicule ivresse Succédait d'ordinaire un tel enchantement Qu'il commençait d'abord par faire à sa maîtresse Mille et un madrigaux, le tout très lourdement. Il devenait tout miel, tout sucre et tout caresse. Il eût communié dans un pareil moment. XLVII. Il n'existait alors secret ni confidence Qui pût y résister. — Tout partait, tout roulait ; Tous les épanchements du monde entraient en danse, Illusions, soucis, gloire, amour, espérance ; Jamais confessionnal ne vit de chapelet Comparable en longueur à ceux qu'il défilait. XLVIII Ah ! c'est un grand malheur, quand on a le cœur tendre, Que ce lien de fer que la nature a mis Entre l'âme et le corps, ces frères ennemis ! Ce qui m'étonne, moi, c'est que Dieu l'ait permis Voilà le nœud gordien qu'il fallait qu'Alexandre Rompît de son épée, et réduisit en cendre. XLIX L'âme et le corps, hélas ! ils iront deux à deux, Tant que le monde ira, — pas à pas, — côte à côte, Comme s'en vont les vers classiques et les bœufs. L'un disant Tu fais mal ! et l'autre C'est ta faute. Ah ! misérable hôtesse, et plus misérable hôte ! Ce n'est vraiment pas vrai que tout soit pour le mieux. L Et la preuve, lecteur, la preuve irrécusable Que ce monde est mauvais, c'est que pour y rester Il a fallu s'en faire un autre, et l'inventer Un autre !-monde étrange, absurde, inhabitable, Et qui, pour valoir mieux que le seul véritable, N'a pas même un instant eu besoin d'exister LI Oui, oui, n'en doutez pas, c'est un plaisir perfide Que d'enivrer son âme avec le vin des sens ; Que de baiser au front la volupté timide, Et de laisser tomber, comme la jeune Elfride. La clef d'or de son cœur dans les eaux des torrents. Heureux celui qui met, dans de pareils moments, LII Comme ce vieux vizir qui gardait sa sultane, La lame de son sabre entre une femme et lui ! Heureux l'autel impur qui n'a pas de profane ! Heureux l'homme indolent pour qui tout est fini Quand le plaisir s'émousse, et que la courtisane N'a jamais vu pleurer après qu'il avait ri ! LIII Ah ! l'abîme est si grand ! la pente est si glissante ! Une maîtresse aimée est si près d'une sœur ! Elle vient si souvent, plaintive et caressante, Poser, en chuchotant, son cœur sur votre cœur ! L'homme est si faible alors ! la femme est si puissante ! Le chemin est si doux du plaisir au bonheur ! LIV Pauvres gens que nous tous !-Et celui qui se livre, De ce qu'il aura fait doit tôt ou tard gémir ! La coupe est là, brûlante, — et celui qui s'enivre Doit rire de pitié s'il ne veut pas frémir ! Voilà le train du monde, et ceux qui savent vivre Vous diront à cela qu'il valait mieux dormir. LV Oui, dormir-et rêver !-Ah ! que la vie est belle, Quand un rêve divin fait sur sa nudité Pleuvoir les rayons d'or de son prisme enchanté ! Frais comme la rosée, et fils du ciel comme elle ! Jeune oiseau de la nuit, qui, sans mouiller son aile, Voltige sur les mers de la réalité ! LVI Ah ! si la rêverie était toujours possible ! Et si le somnambule, en étendant la main, Ne trouvait pas toujours la nature inflexible Qui lui heurte le front contre un pilier d'airain ! Si l'on pouvait se faire une armure insensible ! Si l'on rassasiait l'amour comme la faim ! LVII Pourquoi Manon Lescaut, dès la première scène, Est-elle si vivante et si vraiment humaine, Qu'il semble qu'on l'a vue et que c'est un portrait ? Et pourquoi l'Héloïse est-elle une ombre vaine, Qu'on aime sans y croire et que nul ne connaît ? Ah ! rêveurs, ah, rêveurs, que vous avons-nous fait ? LVIII Pourquoi promenez-vous ces spectres de lumière Devant le rideau noir de nos nuits sans sommeil, Puisqu'il faut qu'ici-bas tout songe ait son réveil, Et puisque le désir se sent cloué sur terre, Comme un aigle blessé qui meurt dans la poussière, L'aile ouverte, et les yeux fixés sur le soleil ? LIX Manon ! sphinx étonnants véritable sirène, Cœur trois fois féminin, Cléopâtre en paniers ! Quoi qu'on dise ou qu'on fasse, et bien qu'à Sainte Hélène On ait trouvé ton livre écrit pour des portiers, Tu n'en es pas moins vraie, infâme, et Cléomène N'est pas digne, à mon sens, de te baiser les pieds LX Tu m'amuses autant que Tiberge m'ennuie , Comme je crois en toi ! que je t'aime et te hais ! Quelle perversité ! quelle ardeur inouïe Pour l'or et le plaisir ! Comme toute la vie Est dans tes moindres mots ! Ah ! folle que tu es. Comme je t'aimerais demain, si tu vivais ! LXI En vérité, lecteur, je crois que je radote. Si tout ce que je dis vient à propos de botte, Comment goûteras-tu ce que je dis de bon ? J'ai fait un hiatus indigne de pardon ; Je compte là-dessus rédiger une note. J'en suis donc à te dire... où diable en suis-je donc ? LXII M'y voilà. — Je disais qu'Hassan, près d'une femme, Était très expansif, — il voulait tout ou rien. Je confesse, pour moi, que je ne sais pas bien Comment on peut donner le corps sans donner l'âme, L'un étant la fumée, et l'autre étant la flamme. Je ne sais pas non plus s'il était bon chrétien ; LXIII Je ne sais même pas quelle était sa croyance, Ni quel secret si tendre il avait confié, Ni de quelle façon, quand il était en France, Ses maîtresses d'un jour l'avaient mystifié, Ni ce qu'il en pensait, — ni quelle extravagance L'avait fait blasphémer l'amour et l'amitié, LXIV Mais enfin, certain soir qu'il ne savait que faire, Se trouvant mal en train vis-à-vis de son verre, Pour tuer un quart d'heure il prit monsieur Galland. Dieu voulut qu'il y vît comme quoi le sultan Envoyait tous les jours une sultane en terre, Et ce fut là-dessus qu'il se fit musulman . LXV Tous les premiers du mois, un juif aux mains crochues Amenait chez Hassan deux jeunes filles nues, Tous les derniers du mois on leur donnait un bain, Un déjeuner, un voile, un sequin dans la main, Et puis on les priait d'aller courir les rues. Système assurément qui n'a rien d'inhumain LXVI C'était ainsi qu'Hassan, quatre fois par semaine, Abandonnait son âme au doux plaisir d'aimer. Ne sachant pas le turc, il se livrait sans peine À son aise en français il pouvait se pâmer. Le lendemain, bonsoir. — Une vieille Égyptienne Venait ouvrir la porte au maître, et la fermer. LXVII Ceci pourra sembler fort extraordinaire, Et j'en sais qui riront d'un système pareil. Mais il parait qu'Hassan se croyait, au contraire, L'homme le plus heureux qui fût sous le soleil. Ainsi donc, pour l'instant, lecteur, laissons-le faire. Le voilà, tel qu'il est, attendant le sommeil. LXVIII Le sommeil ne vint pas, — mais cette douce ivresse Qui semble être sa sœur, ou plutôt sa maîtresse ; Qui, sans fermer les yeux, ouvre l'âme à l'oubli ; Cette ivresse du cœur, si douce à la paresse Que, lorsqu'elle vous quitte, on croit qu'on a dormi ; Pâle comme Morphée, et plus belle que lui. LXIX C'est le sommeil de l'âme On se remue, on bâille, et cependant on dort. On se sent très bien vivre, et pourtant on est mort On ne parlerait pas d'amour, mais je présume Que l'on serait capable, avec un peu d'effort... Je crois qu'une sottise est au bout de ma plume. LXX Avez-vous jamais vu, dans le creux d'un ravin, Un bon gros vieux faisan, qui se frotte le ventre, S'arrondir au soleil, et ronfler comme un chantre ? Tous les points de sa boule aspirent vers le centre. On dirait qu'il rumine, ou qu'il cuve du vin, Enfin, quoi qu'il en soit, c'est un état divin. LXXI Lecteur, si tu t'en vas jamais en Terre sainte, Regarde sous tes pieds tu verras des heureux. Ce sont de vieux fumeurs qui dorment dans l'enceinte Où s'élevait jadis la cité des Hébreux. Ces gens-là savent seuls vivre et mourir sans plainte Ce sont des mendiants qu'on prendrait pour des dieux. LXXII Ils parlent rarement, — ils sont assis par terre, Nus, ou déguenillés, le front sur une pierre, N'ayant ni sou ni poche, et ne pensant à rien. Ne les réveille pas ils t'appelleraient chien. Ne les écrase pas ils te laisseraient faire. Ne les méprise pas car ils te valent bien. LXXIII C'est le point capital du mahométanisme De mettre le bonheur dans la stupidité. Que n'en est-il ainsi dans le christianisme ! J'en citerais plus d'un qui l'aurait mérité, Et qui mourrait heureux sans s'en être douté ! Diable ! j'ai du malheur, — encore un barbarisme. LXXIV On dit mahométisme, et j'en suis bien fâché . Il fallait me lever pour prendre un dictionnaire, Et j'avais fait mon vers avant d'avoir cherché. Je me suis retourné, — ma plume était par terre. J'avais marché dessus, — j'ai souillé, de colère Ma bougie et ma verve, et je me suis couché. LXXV Tu vois, ami lecteur, jusqu'où va ma franchise Mon héros est tout nu, moi je suis en chemise. Je pousse la candeur jusqu'à t'entretenir D'un chagrin domestique. — Où voulais-je en venir ? Je suis comme Enéas portant son père Anchise. LXXXVI Énéas s'essoufflait, et marchait à grands pas. Sa femme à chaque instant demeurait en arrière Créüse, disait-il, pourquoi ne viens-tu pas ? Créüse répondait Je mets ma jarretière. -Mets-la donc, et suis-nous, répondait Énéas. Je vais, si tu ne viens, laisser tomber mon père. LXXVII Lecteur, nous allons voir si tu comprends ceci Anchise est mon poème ; et ma femme Créüse Qui va toujours trainant en chemin. c'est ma muse Elle s'en va là-bas quand je la crois ici. Une pierre l'arrête, un papillon l'amuse. Quand arriverons-nous si nous marchons ainsi ? LXXVIII Enéas, d'une part, a besoin de sa femme. Sans elle, à dire vrai, ce n'est qu'un corps sans âme. Anchise, d'autre part, est horriblement lourd. Le troisième péril, c'est que Troie est en flamme. Mais, dès qu'Anchise grogne ou que sa femme court. Créas est forcé de s'arrêter tout - Chant premier Poèmes de Alfred de Musset Citations de Alfred de Musset Monfils, vis ta vie avec amour et gentillesse. Déploie tes ailes et vole haut dans les airs. Réalise les choses qui te rendent heureux. Et sache que je suis fière de toi et que tu es aimé pour toujours. Bon anniversaire ! 2. Tu ne dois jamais oublier que je t’aime. Dans la vie, il y a toujours des hauts et des bas. mon fils ma vie ma fiertécourgette en arabe marocain août 18, 2020 509 Posé sur mon ventre nu et vide, tu étais tout chaud, je te couvrais déjà de bisous! !J'aime ses moments de douceur qui nous appartiennent un bonheur si parfait grâce à lui tu me manque mon bébé maman t'aime plus que tout Jkiff kan mon pti prince s'endort tendrement sur moi ya tellement de chose à dire d'une relation comme la notre Je voudrai être la fille à qui tu penses le soir avant de t'endormir. MON FILS MA FIERTÉ - Plume et Conscience. Accueil du blog; Recommander ce blog; Créer un blog avec CanalBlog Join Facebook to connect with Mon Fils Ma Fierté and others you may know. Tous les problèmes ont des solutions. Belle carte et image pour dire à ses enfants qu’on les aime. Tu m'as donné de nombreuses raisons d’être fière de toi mais ce qui fait ma plus grande fierté, c'est de pouvoir dire aux autres que tu es mon fils. Je voudrais être la fille qui te feras découvrir qu'est-ce que l'amour avec un grand A. Je voudrais être la fille à qui tu demanderas de t'accompagner au pour l'achat de ta nouvelle voiture !e douzaine de roses des bisous tout pour lui faire plaisir Je voudrais être la fille qui occupe tes pensées pendant que tu t'ennuiesJe voudrais être la fille pour qui tu laisseras tomber la "xbox". Bonjour j'ai crée se blog pour partager l'amour que j'ai avec mon fils et pour montrer aux maman seule avec leur enfant que c'est possible de refaire sa vie !! Mes garçons que j’aime Je vous dédie les mots de ce poème. Mon Fils Ma Fierté est sur Facebook. Mes petits bouts d’amour. Audrey Hepburn. Tu as été mon miracle, tu es devenu depuis ma raison de vivre, de me battre, de tenir le cap certains jours. Inscrivez-vous sur Facebook pour communiquer avec Mon Fils Ma Fierté et d’autres personnes que vous pouvez connaître. ‍‍ Pour mes fils, ma vie. Facebook offre à … Je voudrais être la fille que tu appelleras mon amour, ma chérie,ma princesse en le pensant fille qui te feras réaliser à quel point le sexe est secondaire. Oui mon chéri, tu remplis ma vie de joie, de bonheur et de prospérité. post-template-default,single,single-post,postid-315,single-format-standard,ajax_fade,page_not_loaded,,vertical_menu_enabled,qode-title-hidden,qode_grid_1300,side_area_uncovered_from_content,qode-content-sidebar-responsive, Elle allais être beaucoup plus belle, les sentiments que je ressentais étais bien trop fort que pr les décrire! mon fils, ma fierté Ma vie a commencé avec toi, Quand la sage femme t'as posé sur mon ventre, Quand on a échangé,pour la première fois, Ce magnifique regard tendre. Mes petits bouts d’homme Mes enfants chéris Mes amours en somme. 315. Vous être mon bonheur infini. Mon espoir, ma fierté, mon tout. Je ne peux plus te porter dans mes bras mais je te porterai toujours dans mon cœur. Lettre de déclaration d’amour à mon fils. Je veux être celle qui te rend véritablement heureux.. Je t'ai porté pendant 9mois et aujourd'hui je suis la plus fière de toutes les mamans Rien ne pourra égaler notre amour ,notre complicité et tout le reste car toi et moi c'est depuis que tu a grandit dans mon ventre Des moments et des souvenirs qui nous appartiennent et qu'on aime partager !! ... Tu es plus que mon enfant tu es ma vie. Je voudrais etre la fille a qui tu demandera sa main avec beaucoup de romantismeJe voudrais être la fille que tu présenteras à tout le monde. Mon Fils Ma Fierté is on Facebook. 1 févr. Face à tout ce que tu as pu accomplir dans ta vie, je ne peux que ressentir de la fierté. Elle a du l'élever seule avec l'aide de sa mère et son frère puisque le père de ce dernier est partit à l'annonce de sa grossesse, sans donner de raison à son départ. Facebook gives people the power to … Ma plus belle réussite… c’est toi mon fils ! Par Audrey Le plus difficile dans la maternité, c’est cette inquiétude intérieure que l’on ne doit pas montrer ». Aujourd’hui, je me rends compte de la chance que j’ai de t’avoir comme fils. VOUS LISEZ. Une poésie qui dit ma fierté Nina; Mon fils tu es ma fierté » Romance. Ma vie ma fierté mon loulou. Même dans la solitude, tu ne seras jamais seul, car je suis là pour toi et rien en ce monde ne pourra jamais changer cela. 2019 - à mon fils J'ai fermé les yeux pour un instant et le petit garçon que tu étais est devenu un homme. C'est a ce moment là, que j'ai compris que ma vie serai plus jamais la même! Pas simple mais possible. Nina, maman d'un petit garçon prénommé Ethan. Je … Ligue Des Champions 1958, Sun Store Service Client, Ligue Des Champions 1969, Kakashi Vs Itachi épisode, Proexr Photoshop Cc 2018, Tatouage Enfer Paradis, Pourquoi Il Ne Pleut Plus, Hôtel Du Dragon Strasbourg, Définition Empire 5ème, Tonique Garnier Aloe Vera, Le Phénix Renaître De Ses Cendres Poème, Narcotrafic Colombie Aujourd'hui, Synonyme Entretien Professionnel, Psg Asse Heure, Frontière France Andorre Ouverte, Château En Anjou, Partition Piano Blues Facile, Pikachu Talking Reaction, Zone Blanche Fin, Ajouter Une Bio Sur Facebook, Ressources Du Brésil, Chance Dark Souls 3, Activité Ile Des Pins, Camille Lacourt Femme, Meteoblue Arcachon 14 Jours, Jojo Le Mérou, Zenitude Hôtel Résidence Narbonne, Circuit Automobile Grade 1, Eyobim Avengers Endgame, Poesies Sur Lattente, Carabine De Chasse Gros Calibre, Pépite Fifa 20 - Carrière, Kitchen Nightmares Replay, Turandot - Youtube, Consultation Urologie Homme, Titre Chanson Voulzy Souchon 2015, De Quelle Manière Par Quel Moyen, Salers Alcool Leclerc, Citation Dire Stop, Doctolib Irm Aulnay, Couleur Criarde Synonyme, Lady Gaga Top 10 Billboard, Temperature Hong Kong, Le Petit Gourmet Tonnerre, Decathlon Survêtement Garçon, Path Of Exile Labyrinthe Interrupteur, Ossatueur Alola Galar, Hôtel Bristol Hôtel Reims Place D'Erlon3,3198À 0,4 km1 208 421 IDR, Ligaments Croisés Chien, Cause De Mortalité En France 2018, Publier Des Poèmes, Film Woman Yann Arthus-bertrand Date De Sortie, Carte Crimée Russie, Lycée Saint-exupéry Limoges, Great Chaos Fire Orb, Dieu De La Musique, Peugeot 307 Gt Line, Le César3,687À 2 mi, Merci Pour Votre Rapidité Synonyme, Ligue Des Champions 1958, Classés dans Build Lili heal Cet article a été écrit par
citationmon fils ma vie. Posted in mcfly et carlito divorce club. citation mon fils ma vie. Posted by By do you have to transcribe stutters? full verbatim Maggio 31, 2022 travaillee en chauffant 7 lettres
Depuis déjà un an, la vie m’a fait le merveilleux cadeau de devenir une Mamie. Plusieurs d’entre vous me comprendront sûrement si je vous dis qu’il n’y a pas de mots pour dire à quel point ce petit humain rempli ma vie! Je suis en admiration devant chaque petit apprentissage, devant chaque nouveau geste. Le plus petit de ses babillages sonne comme le plus grand air d’opéra à mes oreilles! Je suis certaine que plusieurs grands-mamans se reconnaissent en ce moment, non? Avant, quand mes amies me disaient que leurs petits-enfants étaient à ce point merveilleux, je me disais qu’elles manquaient d’objectivité! Mais voilà que ce petit humain entre dans ma vie pour venir tout bouleverser! Je peux même dire que je suis maintenant une Mamie complètement gaga»! Il illumine mes journées par ses éclats de rire si intenses, avec son sourire angélique et ses grands yeux curieux. Ce petit bonhomme plein d’ardeur qui respire la joie de vivre me fait vibrer. Il est si petit, mais il ne se doute pas à quel point il est important pour moi. Edmond a complètement changé ma vie. J’ai modifié mon alimentation pour être une Mamie à la hauteur. Bien sûr, je le fais aussi pour mon bien-être, mais je dois dire qu’il est ma motivation, il est ma raison de continuer à améliorer mes habitudes de vie! Je veux tellement le voir grandir. Je veux être là quand il aura son permis de conduire, je veux connaître sa première blonde. Je veux être là pour lui quand il aura une peine d’amour ou qu’il vivra un échec. Quand il est né, je dois vous avouer que le fait d’habiter loin de lui m’inquiétait. J’avais peur que la distance soit un obstacle à la qualité de notre relation Je crois même que j’étais égoïste… Peut-être allait-il préférer sa gardienne à sa grand-mère?! Quand j’y repense, je me trouve bien drôle! Comme je veux absolument faire partie de sa vie, je prends les grands moyens je le visite le plus régulièrement possible, je lui envoie des cartes à chaque occasion et on se parle» au téléphone au moins une fois semaine je dois avouer que je parle plus avec ma fille qu’avec mon petit-fils mais quand même, on essaie haha!. Et vous savez quoi? Ça fonctionne! Vous devriez voir son sourire quand il me voit apparaître chez lui! Mon coeur fond quand il me tend les bras et qu’il se colle contre moi… Je suis à ce moment là, la Mamyli la plus heureuse du monde car je sais que le lien est créé, qu’il sait maintenant qui je suis et que je serai toujours là pour lui. Maintenant, il ne me reste plus qu’à profiter de tous les beaux moments à venir et surtout d’apprécier le fait que mon petit-fils me rappelle chaque fois que le lien familial est plus fort que tout. Une Mamyli comblée. 38 Citation Mon Fils Ma Fierté. Citation de jacques salomé ; Clair de lune à montmartre. Je veux que tu croies au plus. Tu sais, mon chéri, je t'aime, tu es mon fils adoré, je donnerais ma vie pour toi. J ai tordu le coup à la fatalité. Citations amour et maman découvrez 40+ belles phrases parmi des. A toi mon fils, ma joie mes larmes sont, pars amour pour toi. Ma fille m'a demandé Senin, 18 April 2022 Edit Poeme Et Tribunes Libres En L Honneur Des Femmes Free Dom from 14+ Poeme Ma Fille Ma Fierté. Exploring what to see and do in worcester ma can be overwhelming, but frommer's has the definitive guide on the internet for things to do. Literature plays an important role in developing crucial life skills, including critical thinking and empathy. Exploring what to see and do in marblehead, ma can be overwhelming, but frommer's has the definitive guide on the internet for things to do. Vous faites ma fierté et ma raison d'aimer à l'infini. Learn more about the benefits of literature here. Chaque jour et pour toujours, je vais aimer ma fille, plus fort que ma. Je n'ai pas besoin de me fier aux signes du zodiaque pour cela . Je t'aime tout le temps et sans limite. Ma fille , c'est ma petite beauté, ma princesse pourrie gâtée, Je sais que je ne peux .
Jemarie mon fils kevin en juillet 2020 texte de toute beauté et de vérité mais quelle plume hous avez Mony merci a vous de nous en faire profiter moi qui ne suis pas douée en poeme .je vais vous l emprintez un grand merci .. bon confinement et prenez soin de vous et de toute votre famille #80. Marie Christine Méli (jeudi, 26 mars 2020 14:49) Coucou Mony, Ma fille Armelle et
Poème du jour Toi, mon héros, ma petite-fille... Poème pour ma petite-fille Toi, mon héros, ma petite-fille qui éblouit ma vie, Toi, mon héros, ma petite-fille, mon rayon de soleil, Qui chaque jour m'émerveille, Toi, mon héros, ma petite-fille qui m'apporte tant d'amour, Toi mon héros, ma petite-fille qui présente à mes côtés, Suscite en moi, des joies intenses, Toi, mon héros, ma petite-fille aux yeux étincelants de malice, Toi, mon héros, ma petite-fille, la magie de me rendre le sourire, Toi, mon héros, ma petite-fille, ta présence remplit mon cœur de passion, Toi, mon héros, ma petite-fille, qui a changé mon existence, Toi, mon héros, ma petite-fille, qui a fait de moi une mamie comblée. Toi, mon héros, ma petite-fille, Tu es arrivée un beau jour de décembre, Ta naissance à marquer mon destin, Ta venue fut pour moi un espoir de bonheur, Ce petit bout de chou a émerveillé ma vie, Au moment même où ma vie basculée. Ta frimousse m'a réchauffée mon cœur, Tes gazouillis m'ont transportée de joie. Toi, mon héros, ma petite-fille, A chacun de tes pas tu m'impressionnes, A chacune de tes paroles tu me touches, A chacune de tes chansons tu me fais tourner la tête, A chacun de tes câlins tu m’émouvais, Tu a su conquérir mon cœur, Ta présence me charme, A chaque instant tu me fais rêver, à des mondes inconnus. Toi, mon héros, ma petite-fille, Mon héros de tous les instants, Tes demandes sont surprenantes, Tu es heureuse déguisée en tes héros favoris, que nous t'offrons, Là, tu es dans ton élément, Un petit héros, haut comme trois pommes, Tu sais m'attendrir par la grâce que tu as en toi, Mais tu es aussi mon petit garçon manqué, Tu n'aimes pas les habits de princesse, Tu préfères t'habiller en petit-garçon, tu es dans ton élément, Pour le bonheur de mes yeux, Tu te déguises en tes héros, Tu adores te comporter et agir comme tes héros Tu sais me les faire aimer, Tu me fais partager ton imagination, Et je tombe sous ton charme. Toi, mon héros, ma petit-fille, Tu es mon rayon de soleil, ma joie de vivre Tu es mon trésor, Tu es mon héros de chaque jour. Ton sourire est si tendre, Ton cœur est si pur, Ton petit air boudeur me charme, Tu parles de tout avec maturité, Tu me surprends de ton savoir, Tu poses des questions sur le monde, Tu vas te réfugier dans le monde de tes héros, Sérieuse et appliquée sur ce que tu fais, Parfois tu pars dans tes pensées, dans la lune, Ton air songeur, cherche des réponses. Toi, mon héros, ma petit-fille, Tu chéris que je te raconte des histoires en t'endormant, Où lorsque je suis près de toi, Tu aimes les animaux, les cajoler, les regarder. Tu cherches les câlins, ta tutu » et ton doudou dans les mains, Ta tête dans le creux de mon épaule, blottit contre moi, Tu t’endors doucement dans ton monde d'enfant, Ton monde où les héros sont rois. Tu sais t'imposer avec malice. Toi, mon héros, ma petit-fille, Je remercie ma fille, ta maman, De m'avoir donnée une si jolie petit-fille, De m'avoir permise de te dorloter, de profiter de toi, Lorsque tout chavirait dans ma vie, Et une chose est sure que pour moi, Dans ma vie, l'amour, la joie d'avoir une si jolie petit-fille, A changé ma vie pour la nuit des temps, Je veille sur toi près ou loin, Tu peux à tout moment compter sur ta mamie, Tu es et resteras à jamais pour moi, Mon héros, ma petit-fille.
Dictionnairedes proverbes page 21. 27++ citation mon fils ma vie ma fierté poeme gratuit. La mere et son fils 18 citations sur la mere et le fils. Aussitôt je t ai aimé. Idees message texte
10 Mars 2019 Ils sont la prunelle de mes yeux, Je ne vis rien que pour eux, Ils sont mes plus beaux miracles, Aussi précieux qu'un pentacle. Je les enveloppe d'un amour intense, D'un flot qui s'écoule en abondance, Dans leurs veines, coule mon sang, Ma plus grande fierté, être maman. Mes bras deviennent source de chaleur, Lorsqu'ils viennent se blottir avec ferveur, Mes paroles se font réconfortantes, Lorsque s'abat sur eux la déferlante. Je me ferais louve aux dents d'acier, Pour eux, si l'on venait à les disgracier, Sans hésiter, je deviendrais carnassière, Plantant mes vils crocs dans les chairs. Ils sont la prunelle de mes yeux, Ma vie, mon sang, mes précieux. Je me battrai au dernier souffle, Jusqu'à la mort qui m'essouffle. Près d'eux, je suis ce bouclier, À vie, je resterai leur templier. ​ Hors ligne 10 Mars 2019 Ils sont la prunelle de mes yeux, Je ne vis rien que pour eux, Ils sont mes plus beaux miracles, Aussi précieux qu'un pentacle. Je les enveloppe d'un amour intense, D'un flot qui s'écoule en abondance, Dans leurs veines, coule mon sang, Ma plus grande fierté, être maman. Mes bras deviennent source de chaleur, Lorsqu'ils viennent se blottir avec ferveur, Mes paroles se font réconfortantes, Lorsque s'abat sur eux la déferlante. Je me ferais louve aux dents d'acier, Pour eux, si l'on venait à les disgracier, Sans hésiter, je deviendrais carnassière, Plantant mes vils crocs dans les chairs. Ils sont la prunelle de mes yeux, Ma vie, mon sang, mes précieux. Je me battrai au dernier souffle, Jusqu'à la mort qui m'essouffle. Près d'eux, je suis ce bouclier, À vie, je resterai leur templier. ​Bel amour d'une mer pour ses enfants Léa et belle écriture Gaby Hors ligne 10 Mars 2019 Tabernacle matriarcal devant lequel on s'incline de peur d'en être exclu....à coups de crocs d'acier !! Bel esprit d'une mère parfaitement dévouée aux siens....merci pour ce bel écrit Hors ligne 10 Mars 2019 Belle avalanche versifiée ! un poème plaisant qui se lit très bien. Un beau partage. Même d'acier, vos crocs de louve qui protègent ses louveteaux ne peuvent être vils, ils sont les glaives de la justice ! Moïse o Maître poète Hors ligne 10 Mars 2019 Ils sont la prunelle de mes yeux, Je ne vis rien que pour eux, Ils sont mes plus beaux miracles, Aussi précieux qu'un pentacle. Je les enveloppe d'un amour intense, D'un flot qui s'écoule en abondance, Dans leurs veines, coule mon sang, Ma plus grande fierté, être maman. Mes bras deviennent source de chaleur, Lorsqu'ils viennent se blottir avec ferveur, Mes paroles se font réconfortantes, Lorsque s'abat sur eux la déferlante. Je me ferais louve aux dents d'acier, Pour eux, si l'on venait à les disgracier, Sans hésiter, je deviendrais carnassière, Plantant mes vils crocs dans les chairs. Ils sont la prunelle de mes yeux, Ma vie, mon sang, mes précieux. Je me battrai au dernier souffle, Jusqu'à la mort qui m'essouffle. Près d'eux, je suis ce bouclier, À vie, je resterai leur templier. ​coucou Léa Je me reconnais en ton poème ! Je n'ai qu'un fils ... et je déborde d'amour pour lui. Je me suis battue pour lui car il est "différent" même si physiquement, on ne le voit pas. J'ai vraiment aimé la délicatesse exquise de ce poème. " sourire" Sincèrement Rose ^^ Hors ligne 10 Mars 2019 J'ai une chatte qui a eu des petits l'an dernier, habituellement peureuse, elle s'est littéralement jetée sur un chien qui approchait ses petits, on aurait dit qu'elle faisait 2 mètres tant elle dégageait d'énergie protectrice ... ainsi sont les mères envers leurs petits. Vôtre texte contient cette énergie. Belle soirée Pierre Hors ligne 10 Mars 2019 'Touche pas à mes enfants'...Bravo! Par amour, une Mère est capable de se sacrifier pour ses enfants....comme la loi de la Jungle Hors ligne 10 Mars 2019 Ce poème très joliment versifié pourrait très bien s'appliquer à moi qui ai tendance à " trop couver " la prunelle de mes yeux une fille de 11 ans que j' à ce qu' ON dit ! Mon bébé qui grandit m'a appris l'art du câlin... Ne change rien vis-à-vis de tes enfants, chère Léa, eux sont l'avenir ! Amitiés, Chess. Hors ligne 11 Mars 2019 Ce poème très joliment versifié pourrait très bien s'appliquer à moi qui ai tendance à " trop couver " la prunelle de mes yeux une fille de 11 ans que j' à ce qu' ON dit ! Mon bébé qui grandit m'a appris l'art du câlin... Ne change rien vis-à-vis de tes enfants, chère Léa, eux sont l'avenir ! Amitiés, Chess. C'est vrai, on n'est que l'arc , euxelles sont la flèche... Un petit ressenti de sim, cher camarade. Pardon Léa... 11 Mars 2019 Bel amour d'une mer pour ses enfants Léa et belle écriture Gaby Merci beaucoup Gaby pour ton appréciation. Tabernacle matriarcal devant lequel on s'incline de peur d'en être exclu....à coups de crocs d'acier !! Bel esprit d'une mère parfaitement dévouée aux siens....merci pour ce bel écrit Merci à vous Storgé pour votre commentaire. Belle avalanche versifiée ! un poème plaisant qui se lit très bien. Un beau partage. Même d'acier, vos crocs de louve qui protègent ses louveteaux ne peuvent être vils, ils sont les glaives de la justice ! Moïse Merci à vous Moîse pour votre lecture et ressenti. J'aime beaucoup l'image du glaive et de la justice. coucou Léa Je me reconnais en ton poème ! Je n'ai qu'un fils ... et je déborde d'amour pour lui. Je me suis battue pour lui car il est "différent" même si physiquement, on ne le voit pas. J'ai vraiment aimé la délicatesse exquise de ce poème. " sourire" Sincèrement Rose ^^ Merci beaucoup Rose pour ce ressenti. Être parent est un combat de tous les jours. L'amour qu'on leur porte dépasse tout le reste. J'ai une chatte qui a eu des petits l'an dernier, habituellement peureuse, elle s'est littéralement jetée sur un chien qui approchait ses petits, on aurait dit qu'elle faisait 2 mètres tant elle dégageait d'énergie protectrice ... ainsi sont les mères envers leurs petits. Vôtre texte contient cette énergie. Belle soirée Pierre Merci Pierre. L'instinct pour défendre nos petits que l'on soit chat ou humain, peut nous pousser à nous mesurer à plus grand que soi. Occultant la peur que l'on transforme en énergie. Se surprenant soi-même. 'Touche pas à mes enfants'...Bravo! Par amour, une Mère est capable de se sacrifier pour ses enfants....comme la loi de la Jungle Merci Simlecteur. Lorsque l'on est père et mère à la fois aucun autre choix n'est possible que de se battre pour eux et de les défendre. La "loi de la jungle" c'est tout à fait ça. Ce poème très joliment versifié pourrait très bien s'appliquer à moi qui ai tendance à " trop couver " la prunelle de mes yeux une fille de 11 ans que j' à ce qu' ON dit ! Mon bébé qui grandit m'a appris l'art du câlin... Ne change rien vis-à-vis de tes enfants, chère Léa, eux sont l'avenir ! Amitiés, Chess. Merci Chessmec. Je suis pareil. Je couve, je couve, malgré leur 8 et 11 ans, malgré qu'il déborde du nid maintenant Ils sont l'avenir et nous nous sommes leur tremplin. C'est vrai, on n'est que l'arc , euxelles sont la flèche... Un petit ressenti de sim, cher camarade. Pardon Léa... Pas de soucis Sim. Ça ne me dérange en aucun cas je trouve d'ailleurs l'image de l'arc et de la flèche bien trouvée. Hors ligne 11 Mars 2019 un poème d'une extrême sensibilité ou l'amour de la maman trouve tout son sens. femme et maman une belle bénédiction bravooooooooooooooo et merci pour ce merveilleux partage mes amitiés Rachid Hors ligne 11 Mars 2019 Bonjour, tout est dit dans ce poème Amour et protection . Et avec, on sent toute la force nécessaire pour y arriver en toutes circonstances. Vos enfants ont énormément de chance car toutes les mères ne sont pas ainsi. Je suis sur qu'ils vous le rendent bien A bientôt 11 Mars 2019 un poème d'une extrême sensibilité ou l'amour de la maman trouve tout son sens. femme et maman une belle bénédiction bravooooooooooooooo et merci pour ce merveilleux partage mes amitiés Rachid Merci beaucoup Asghar pour ce gentil commentaire. Bonjour, tout est dit dans ce poème Amour et protection . Et avec, on sent toute la force nécessaire pour y arriver en toutes circonstances. Vos enfants ont énormément de chance car toutes les mères ne sont pas ainsi. Je suis sur qu'ils vous le rendent bien A bientôt Merci Quatre-sous pour votre ressenti. Ça me touche. Hors ligne 16 Mars 2019 L'amour d'une mère en vers poétiques , et oui que ne ferait on pas pour ses enfants ? on les protège on les conseille on les défend on les aime on les comprend, et suivra un autre amour celui de ses petits enfants et il est énorme aussi ,,, Merci Léa Hors ligne 16 Mars 2019 Une maman protectrice... Bisous à tes enfants et à toi... ​ Hors ligne 16 Mars 2019 Pas de soucis Sim. Ça ne me dérange en aucun cas je trouve d'ailleurs l'image de l'arc et de la flèche bien trouvée. c'est pas de moi j'ai juste emprunté sa citation...content536+ Khalil Gibran. Vos enfants ne sont pas vos enfants. ils sont fils et filles du désir de vie en lui-même. Ils viennent par vous mais non de vous, et bien qu’ils soient avec vous, ce n’est pas à vous qu’ils appartiennent. Vous pouvez leur donner votre amour mais non vos pensées, car ils ont leurs propres pensées. Vous pouvez loger leurs corps mais non leurs âmes, car leurs âmes habitent la demeure de demain, que vous ne pouvez vous efforcer de leur ressembler, mais n’essayez pas qu’ils vous ressemble. Car la vie ne retourne pas en arrière ni s’attarde à hier. Vous êtes les arcs qui projettent vos enfants telles des flèches vivantes. L’archer voit la cible sur le chemin de l’infini, et il vous courbe avec toute sa force pour ses flèches aillent vite et loin. Que cette courbure, dans les mains de l’archer, tende à la joie; car comme il aime la flèche qui vole, il aime aussi l’arc qui est stable. Bon W-E. Hors ligne 16 Mars 2019 Ils sont la prunelle de mes yeux, Je ne vis rien que pour eux, Ils sont mes plus beaux miracles, Aussi précieux qu'un pentacle. Je les enveloppe d'un amour intense, D'un flot qui s'écoule en abondance, Dans leurs veines, coule mon sang, Ma plus grande fierté, être maman. Mes bras deviennent source de chaleur, Lorsqu'ils viennent se blottir avec ferveur, Mes paroles se font réconfortantes, Lorsque s'abat sur eux la déferlante. Je me ferais louve aux dents d'acier, Pour eux, si l'on venait à les disgracier, Sans hésiter, je deviendrais carnassière, Plantant mes vils crocs dans les chairs. Ils sont la prunelle de mes yeux, Ma vie, mon sang, mes précieux. Je me battrai au dernier souffle, Jusqu'à la mort qui m'essouffle. Près d'eux, je suis ce bouclier, À vie, je resterai leur templier. ​très beau poème, une mère, qu'elle soit femme, que ce soit un animal, défend ses petits, de toutes ses forces et même au-delà, elle devient féroce quand elle sent une menace qui les mettrait en danger, une mère , il n'y a pas d'adjectif assez fort pour la définir, elle défaille d'amour quand elle les regarde, elle voudrait toujours pouvoir enlever de leur route toutes menaces, toutes difficultés. Mais son amour n'est pas égoiste, elle sait qu'un jour ils partiront, ils auront leur vie à construire, leur chemin à parcourir, elle sera toujours là dans l'ombre, pour leur tendre la main quand ils leur arrivera de trébucher. Emie Dernière édition 16 Mars 2019 17 Mars 2019 L'amour d'une mère en vers poétiques , et oui que ne ferait on pas pour ses enfants ? on les protège on les conseille on les défend on les aime on les comprend, et suivra un autre amour celui de ses petits enfants et il est énorme aussi ,,, Merci Léa Merci beaucoup Fleurette pour ce joli commentaire. Je vous souhaite un bon Lucie pour ton passage ça fait plaisir. Bon dimanche à toi et bisous à ton petit Lou. c'est pas de moi j'ai juste emprunté sa citation...content536+ Khalil Gibran. Vos enfants ne sont pas vos enfants. ils sont fils et filles du désir de vie en lui-même. Ils viennent par vous mais non de vous, et bien qu’ils soient avec vous, ce n’est pas à vous qu’ils appartiennent. Vous pouvez leur donner votre amour mais non vos pensées, car ils ont leurs propres pensées. Vous pouvez loger leurs corps mais non leurs âmes, car leurs âmes habitent la demeure de demain, que vous ne pouvez vous efforcer de leur ressembler, mais n’essayez pas qu’ils vous ressemble. Car la vie ne retourne pas en arrière ni s’attarde à hier. Vous êtes les arcs qui projettent vos enfants telles des flèches vivantes. L’archer voit la cible sur le chemin de l’infini, et il vous courbe avec toute sa force pour ses flèches aillent vite et loin. Que cette courbure, dans les mains de l’archer, tende à la joie; car comme il aime la flèche qui vole, il aime aussi l’arc qui est stable. Bon W-E. Merci Sim. Je suis 100% d'accord avec cette citation de Khalil Gibran que je ne connaissais pas. Je crois même que je vais les relire régulièrement. Je vous souhaite un bon dimanche. très beau poème, une mère, qu'elle soit femme, que ce soit un animal, défend ses petits, de toutes ses forces et même au-delà, elle devient féroce quand elle sent une menace qui les mettrait en danger, une mère , il n'y a pas d'adjectif assez fort pour la définir, elle défaille d'amour quand elle les regarde, elle voudrait toujours pouvoir enlever de leur route toutes menaces, toutes difficultés. Mais son amour n'est pas égoiste, elle sait qu'un jour ils partiront, ils auront leur vie à construire, leur chemin à parcourir, elle sera toujours là dans l'ombre, pour leur tendre la main quand ils leur arrivera de trébucher. Emie Merci beaucoup Emie. Votre commentaire est magnifique. Vos mots m'ont touché. Un bon dimanche à vous. Hors ligne 27 Mars 2019 Superbe ! Ce poème me parle beaucoup ' suis un papa comme tu le poètises si bien ! Amitiés ' bisous Perceval
19 Citation Mon Fils Ma Fierté. Alles pinalles · poème citations fils, citations pour mon fils, citation mère, citation enfants, . Citations famille et papa découvrez 47 belles phrases parmi des milliers de pensées. Découvrez un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase mon fils issus de livres, discours ou entretiens. Père bien aimé, veille sur ma Cannes C Est D Abord Un Escalier Un Escalier Facile A MonterPoeme De L Amitie Ki Dure Lomptemps Ma Vie En RoseTellement Poeme De Ma VieCitation Sur La Vie DifficileLes Beaux Proverbes Proverbes Citations Et Pensees Positives270 Difficile Est La Vie Poeme De Thema Les Cartes VirtuellesCitation Rupture DifficileLes Beaux Proverbes Proverbes Citations Et Pensees PositivesWh1xh3ej2ssaim1000 Citations Courtes Qui T Inspireront RapidementProverbe Deception De La VieL Amour Est Si Difficile A Trouver Si Facile A Perdre Mais Si300 Citations Sur La Vie Qui Te Changeront A Tout JamaisCe Bonheur Est Difficile A Restituer En Mots Parce Qu Il EtaitLa Vie Est L Examen Le Pus Difficile Citation CitationC Est Tres Difficile Parfois Mais Il Faut Y Croire Croisentoi85 Citations Inspirantes Qui Vont Changer Votre VieProverbes Sur La VieTout Changement Est Difficile Au Debut Complique Au Milieu EtMes Poemes Naoun Dolly300 Citations Sur La Vie Qui Te Changeront A Tout JamaisEspérons article cette heure peut aider copain Tout le monde, n’oubliez pas de voir collections d’autres intéressants assez sage pas pas vu. S'il vous plaît utiliser recherche de boutons ce su ce site de blog. Je vous remercie!!!! bhGs.
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